
Le groupe Lufthansa a confirmé le 3 décembre qu’il procédera immédiatement à l’inspection de 11 avions Airbus récemment livrés, après que le constructeur a signalé un possible défaut sur un panneau de fuselage plus tôt dans la semaine. Deux autres appareils encore en usine ont déjà été contrôlés et ne seront livrés qu’après validation.
Lufthansa a souligné qu’aucun incident de sécurité n’a été enregistré, mais a précisé que des inspections préventives seront programmées, dans la mesure du possible, lors des créneaux de maintenance nocturnes. Les observateurs du secteur notent toutefois que ces immobilisations à court terme pourraient perturber le calendrier hivernal serré du groupe, notamment sur les plateformes de Francfort et Munich, très fréquentées par les voyageurs d’affaires.
Les éventuels changements d’appareils pourraient impacter la configuration des cabines et la connectivité, incitant les équipes en charge des déplacements à forte fréquence vers l’Allemagne à suivre de près les alertes sur le statut des vols et les plans de sièges. Les transitaires transportant des composants critiques pour les usines allemandes pourraient également rencontrer des contraintes de capacité sur les vols A321neo concernés.
En revanche, la réactivité de Lufthansa témoigne de la rigueur de la culture allemande en matière de sécurité aérienne, un gage de confiance pour les programmes de devoir de vigilance. Airbus, de son côté, affirme que le défaut concerne un lot limité et ne compromet pas l’intégrité structurelle si la réparation est effectuée rapidement. Néanmoins, cet épisode vient s’ajouter aux difficultés de la chaîne d’approvisionnement, alors que les compagnies aériennes s’efforcent de répondre à la demande post-pandémie et que l’Allemagne cherche à renforcer sa compétitivité dans le transport aérien.
Lufthansa a souligné qu’aucun incident de sécurité n’a été enregistré, mais a précisé que des inspections préventives seront programmées, dans la mesure du possible, lors des créneaux de maintenance nocturnes. Les observateurs du secteur notent toutefois que ces immobilisations à court terme pourraient perturber le calendrier hivernal serré du groupe, notamment sur les plateformes de Francfort et Munich, très fréquentées par les voyageurs d’affaires.
Les éventuels changements d’appareils pourraient impacter la configuration des cabines et la connectivité, incitant les équipes en charge des déplacements à forte fréquence vers l’Allemagne à suivre de près les alertes sur le statut des vols et les plans de sièges. Les transitaires transportant des composants critiques pour les usines allemandes pourraient également rencontrer des contraintes de capacité sur les vols A321neo concernés.
En revanche, la réactivité de Lufthansa témoigne de la rigueur de la culture allemande en matière de sécurité aérienne, un gage de confiance pour les programmes de devoir de vigilance. Airbus, de son côté, affirme que le défaut concerne un lot limité et ne compromet pas l’intégrité structurelle si la réparation est effectuée rapidement. Néanmoins, cet épisode vient s’ajouter aux difficultés de la chaîne d’approvisionnement, alors que les compagnies aériennes s’efforcent de répondre à la demande post-pandémie et que l’Allemagne cherche à renforcer sa compétitivité dans le transport aérien.








