
Dans un article récent axé sur les données, daté du 2 décembre, CIC News analyse comment le score du Système de classement global (CRS) d’un candidat peut évoluer—à la hausse ou à la baisse—sur une période de deux ans, en fonction de l’expérience de travail au Canada, du vieillissement et des nouveaux critères de sélection par catégorie.
À partir de profils anonymisés, la publication montre que les candidats titulaires d’un permis de travail post-diplôme peuvent gagner jusqu’à 95 points CRS après avoir cumulé 12 mois de travail qualifié à temps plein, ce qui les propulse dans la catégorie de l’Expérience canadienne (CEC) et, par conséquent, dans le groupe prioritaire des tirages prévus en 2025, qui favorisent l’expérience acquise au Canada. En revanche, un travailleur qualifié de 35 ans résidant à l’étranger pourrait perdre entre 5 et 13 points par an en raison de l’âge, rendant une nomination provinciale ou un bonus pour la maîtrise du français essentiels pour rester compétitif.
Cette analyse arrive à point nommé : le plan d’Entrée express 2025 d’IRCC met l’accent sur la CEC et les tirages par catégorie (santé, métiers spécialisés, éducation, français) plutôt que sur des rondes ouvertes à tous les programmes. Les équipes mobilité qui accompagnent les travailleurs étrangers temporaires disposent donc d’une fenêtre étroite au début de 2026 pour convertir ces employés en résidents permanents avant que les pénalités liées à l’âge ne s’aggravent et que le plafond prévu pour 2026 sur les résidents temporaires ne restreigne davantage les voies d’accès.
À retenir : anticipez les scores CRS sur 12 à 24 mois et investissez en amont dans la formation en français, l’obtention de diplômes supérieurs ou le soutien à l’emploi avec une EIMT pour maintenir vos employés clés dans la zone d’invitation.
À partir de profils anonymisés, la publication montre que les candidats titulaires d’un permis de travail post-diplôme peuvent gagner jusqu’à 95 points CRS après avoir cumulé 12 mois de travail qualifié à temps plein, ce qui les propulse dans la catégorie de l’Expérience canadienne (CEC) et, par conséquent, dans le groupe prioritaire des tirages prévus en 2025, qui favorisent l’expérience acquise au Canada. En revanche, un travailleur qualifié de 35 ans résidant à l’étranger pourrait perdre entre 5 et 13 points par an en raison de l’âge, rendant une nomination provinciale ou un bonus pour la maîtrise du français essentiels pour rester compétitif.
Cette analyse arrive à point nommé : le plan d’Entrée express 2025 d’IRCC met l’accent sur la CEC et les tirages par catégorie (santé, métiers spécialisés, éducation, français) plutôt que sur des rondes ouvertes à tous les programmes. Les équipes mobilité qui accompagnent les travailleurs étrangers temporaires disposent donc d’une fenêtre étroite au début de 2026 pour convertir ces employés en résidents permanents avant que les pénalités liées à l’âge ne s’aggravent et que le plafond prévu pour 2026 sur les résidents temporaires ne restreigne davantage les voies d’accès.
À retenir : anticipez les scores CRS sur 12 à 24 mois et investissez en amont dans la formation en français, l’obtention de diplômes supérieurs ou le soutien à l’emploi avec une EIMT pour maintenir vos employés clés dans la zone d’invitation.







