
Les visiteurs des Émirats arabes unis peuvent désormais prolonger leur séjour sans quitter le pays, suite au passage, le 3 décembre 2025, de toutes les demandes de renouvellement de visa de courte durée vers une nouvelle plateforme numérique.
Désormais, les touristes, voyageurs d’affaires et visiteurs familiaux titulaires d’un visa de 30 ou 60 jours peuvent demander une extension supplémentaire de 30 jours via l’application mobile ou le site web de l’Autorité fédérale pour l’identité, la citoyenneté, les douanes et la sécurité portuaire (ICP). Les demandeurs doivent télécharger une copie de leur passeport, une photo et une preuve d’assurance médicale, régler les 750 dirhams, puis reçoivent un e-visa sous 24 heures, selon le personnel du centre d’appels de l’ICP.
Cette nouvelle procédure supprime l’obligation du fameux « visa run », où les titulaires de visa devaient sortir des Émirats – souvent par la frontière terrestre avec Oman ou via un vol aller-retour dans la journée vers Mascate ou Bahreïn – avant de revenir avec un nouveau visa. Les autorités de l’immigration ont expliqué que cette pratique engorgeait les points de contrôle, créait des risques de non-conformité et générait des coûts supplémentaires pour les voyageurs et les compagnies aériennes.
L’extension est calculée à partir de la date d’expiration du visa actuel ; tout dépassement de séjour est toujours sanctionné par une amende de 50 dirhams par jour. Les autorités rappellent aux visiteurs de faire leur demande au moins trois jours avant l’expiration pour éviter toute pénalité, et de vérifier que leur passeport reste valide au moins six mois après la nouvelle date de sortie.
Pour les employeurs multinationales, ce processus sans papier élimine les interruptions pour les consultants sur des missions courtes et réduit la charge administrative des équipes RH en charge des rotations de personnel. Les professionnels du tourisme saluent cette mesure, estimant qu’elle encouragera les visiteurs hivernaux et les participants aux événements MICE (réunions, incentives, conférences et expositions) à prolonger leur séjour, ce qui stimulera le taux d’occupation des hôtels et les dépenses locales.
Désormais, les touristes, voyageurs d’affaires et visiteurs familiaux titulaires d’un visa de 30 ou 60 jours peuvent demander une extension supplémentaire de 30 jours via l’application mobile ou le site web de l’Autorité fédérale pour l’identité, la citoyenneté, les douanes et la sécurité portuaire (ICP). Les demandeurs doivent télécharger une copie de leur passeport, une photo et une preuve d’assurance médicale, régler les 750 dirhams, puis reçoivent un e-visa sous 24 heures, selon le personnel du centre d’appels de l’ICP.
Cette nouvelle procédure supprime l’obligation du fameux « visa run », où les titulaires de visa devaient sortir des Émirats – souvent par la frontière terrestre avec Oman ou via un vol aller-retour dans la journée vers Mascate ou Bahreïn – avant de revenir avec un nouveau visa. Les autorités de l’immigration ont expliqué que cette pratique engorgeait les points de contrôle, créait des risques de non-conformité et générait des coûts supplémentaires pour les voyageurs et les compagnies aériennes.
L’extension est calculée à partir de la date d’expiration du visa actuel ; tout dépassement de séjour est toujours sanctionné par une amende de 50 dirhams par jour. Les autorités rappellent aux visiteurs de faire leur demande au moins trois jours avant l’expiration pour éviter toute pénalité, et de vérifier que leur passeport reste valide au moins six mois après la nouvelle date de sortie.
Pour les employeurs multinationales, ce processus sans papier élimine les interruptions pour les consultants sur des missions courtes et réduit la charge administrative des équipes RH en charge des rotations de personnel. Les professionnels du tourisme saluent cette mesure, estimant qu’elle encouragera les visiteurs hivernaux et les participants aux événements MICE (réunions, incentives, conférences et expositions) à prolonger leur séjour, ce qui stimulera le taux d’occupation des hôtels et les dépenses locales.










