
La France s’est réveillée mardi avec sa plus grande grève multisectorielle depuis l’été, alors que les syndicats CGT, Solidaires et FSU ont lancé une grève de 24 heures pour protester contre les coupes budgétaires prévues et la suppression de 4 000 postes d’enseignants. Pour les responsables de la mobilité, la principale difficulté immédiate concernait les transports : la SNCF a confirmé une réduction des fréquences sur les lignes TGV et Intercités clés, tandis que la RATP a annoncé un service irrégulier sur le RER B à Paris, essentiel pour accéder aux aéroports Charles-de-Gaulle (CDG) et Orly (ORY).
La DGAC n’a pas activé les règles de service minimum pour les contrôleurs aériens, mais l’accès aux aéroports a subi des retards en cascade, les trains de banlieue, tramways et navettes fonctionnant selon des horaires réduits. Le cabinet de conseil en voyages Adept.Travel a conseillé aux passagers de prévoir au moins quatre heures entre l’arrivée du train et le départ de leur vol, et de réserver des hôtels à proximité des grandes gares comme Gare du Nord ou Denfert-Rochereau.
Au-delà des transports, la grève a entraîné la fermeture de nombreuses écoles, ralenti les consultations externes dans les hôpitaux et provoqué d’importantes manifestations bloquant ponts et boulevards dans le centre de Paris. Les voyageurs d’affaires ont signalé des trajets pouvant atteindre 90 minutes entre La Défense et CDG, soit le double du temps habituel, en raison de la forte demande de taxis et de services de covoiturage.
Bien que la grève soit officiellement limitée à 24 heures, les syndicats menacent de nouvelles actions si le budget 2026 maintient les suppressions de postes prévues. Les entreprises ayant des collaborateurs en mission en France doivent surveiller les dates potentielles de perturbations et rappeler à leurs employés les itinéraires alternatifs, incluant les aéroports régionaux et les autocars longue distance. Les équipes en charge des risques liés aux déplacements signalent également un risque de fermetures spontanées de routes lors des manifestations.
À plus long terme, ce mouvement illustre la volatilité sociale à venir en 2026, année précédant l’élection présidentielle française. Les responsables de la mobilité internationale devront peut-être intégrer des clauses de grève dans les contrats de mission et prévoir des marges plus larges dans les plannings de voyage pour préserver les délais des projets.
La DGAC n’a pas activé les règles de service minimum pour les contrôleurs aériens, mais l’accès aux aéroports a subi des retards en cascade, les trains de banlieue, tramways et navettes fonctionnant selon des horaires réduits. Le cabinet de conseil en voyages Adept.Travel a conseillé aux passagers de prévoir au moins quatre heures entre l’arrivée du train et le départ de leur vol, et de réserver des hôtels à proximité des grandes gares comme Gare du Nord ou Denfert-Rochereau.
Au-delà des transports, la grève a entraîné la fermeture de nombreuses écoles, ralenti les consultations externes dans les hôpitaux et provoqué d’importantes manifestations bloquant ponts et boulevards dans le centre de Paris. Les voyageurs d’affaires ont signalé des trajets pouvant atteindre 90 minutes entre La Défense et CDG, soit le double du temps habituel, en raison de la forte demande de taxis et de services de covoiturage.
Bien que la grève soit officiellement limitée à 24 heures, les syndicats menacent de nouvelles actions si le budget 2026 maintient les suppressions de postes prévues. Les entreprises ayant des collaborateurs en mission en France doivent surveiller les dates potentielles de perturbations et rappeler à leurs employés les itinéraires alternatifs, incluant les aéroports régionaux et les autocars longue distance. Les équipes en charge des risques liés aux déplacements signalent également un risque de fermetures spontanées de routes lors des manifestations.
À plus long terme, ce mouvement illustre la volatilité sociale à venir en 2026, année précédant l’élection présidentielle française. Les responsables de la mobilité internationale devront peut-être intégrer des clauses de grève dans les contrats de mission et prévoir des marges plus larges dans les plannings de voyage pour préserver les délais des projets.










