
Le ministère de l’Immigration du Québec a confirmé qu’à partir du 1er janvier 2026, les étudiants internationaux devront justifier d’au moins 24 617 CAD en fonds disponibles pour les frais de subsistance, contre 11 000 CAD pour les adultes et seulement 6 679 CAD pour les mineurs actuellement. Ces montants révisés s’appliqueront tant au stade provincial du Certificat d’Acceptation du Québec (CAQ) qu’au dépôt de la demande de permis d’études auprès d’IRCC.
Cette mesure fait suite à une étude provinciale sur le coût de la vie qui a révélé que de nombreux étudiants sous-estiment les dépenses liées au logement et à l’alimentation, ce qui entraîne des difficultés financières et un travail illégal hors campus. Les universités et les cégeps ont plaidé pour des seuils plus élevés afin de réduire le taux d’abandon et les coûts liés au tutorat.
Pour les agents d’éducation et les responsables de la mobilité internationale, cette exigence plus stricte augmentera la charge financière initiale des programmes de bourses et des stagiaires parrainés par des entreprises. Les employeurs envoyant des personnes à charge étudier au Québec pourraient devoir revoir leurs budgets de relocalisation ou offrir des allocations supplémentaires. Le défaut de fournir une preuve de fonds actualisée pourrait entraîner des refus de permis ou des retards, compromettant les plans d’admission pour janvier 2026.
Le Québec rejoint la Colombie-Britannique et l’Ontario en adoptant des critères financiers spécifiques à la province, supérieurs aux minimums nationaux d’IRCC, signalant une fragmentation que les recruteurs internationaux devront suivre de près.
Cette mesure fait suite à une étude provinciale sur le coût de la vie qui a révélé que de nombreux étudiants sous-estiment les dépenses liées au logement et à l’alimentation, ce qui entraîne des difficultés financières et un travail illégal hors campus. Les universités et les cégeps ont plaidé pour des seuils plus élevés afin de réduire le taux d’abandon et les coûts liés au tutorat.
Pour les agents d’éducation et les responsables de la mobilité internationale, cette exigence plus stricte augmentera la charge financière initiale des programmes de bourses et des stagiaires parrainés par des entreprises. Les employeurs envoyant des personnes à charge étudier au Québec pourraient devoir revoir leurs budgets de relocalisation ou offrir des allocations supplémentaires. Le défaut de fournir une preuve de fonds actualisée pourrait entraîner des refus de permis ou des retards, compromettant les plans d’admission pour janvier 2026.
Le Québec rejoint la Colombie-Britannique et l’Ontario en adoptant des critères financiers spécifiques à la province, supérieurs aux minimums nationaux d’IRCC, signalant une fragmentation que les recruteurs internationaux devront suivre de près.









