
À l’approche de la saison fiscale 2026, une chronique publiée dans Education Times le 30 novembre détaille les **obligations déclaratives incontournables** pour les étudiants internationaux titulaires de visas F-1 et J-1. Bien que destinée à un large public, cette information concerne particulièrement les quelque 240 000 étudiants indiens actuellement aux États-Unis, dont beaucoup ignorent qu’ils doivent remplir le formulaire 8843 même en l’absence de revenus.
Le non-respect de cette obligation peut compromettre des avantages migratoires futurs tels que l’OPT, le CPT ou le transfert ultérieur vers un visa H-1B. L’article recense les erreurs fréquentes — soumettre un formulaire 1040 résident au lieu du 1040-NR non-résident, manquer les échéances du 15 avril ou du 15 juin, ou ne pas appliquer les déductions prévues par le traité fiscal Inde-USA sur les salaires — qui ont conduit à des demandes de preuves supplémentaires (RFE) et, dans de rares cas, à des refus de visa lors des entretiens consulaires de renouvellement.
Les équipes de mobilité des entreprises indiennes qui sponsorisent des diplômés sous STEM OPT devraient diffuser ce rappel ; un dossier fiscal irréprochable est de plus en plus pris en compte par l’USCIS lors des décisions. Les universités ont commencé à organiser des ateliers, et plusieurs cabinets du Big 4 proposent des licences Sprintax à tarif réduit en février-mars pour permettre aux étudiants de préparer eux-mêmes leurs déclarations.
Conseil pratique : les étudiants ayant exercé des activités de covoiturage ou de freelance à distance — souvent interdites par les règles de visa — doivent déclarer ces revenus ; une sous-déclaration peut entraîner des pénalités fiscales et des violations de statut. L’article clarifie également les règles concernant le SSN et l’ITIN, une source fréquente de confusion pour les nouveaux arrivants.
À plus long terme, les autorités américaines envisagent d’intégrer une formation de base sur la déclaration fiscale dans l’orientation SEVIS. En attendant, une communication anticipée des employeurs indiens peut faciliter la transition des diplômés du campus au visa H-1B, évitant ainsi les mauvaises surprises au consulat.
Le non-respect de cette obligation peut compromettre des avantages migratoires futurs tels que l’OPT, le CPT ou le transfert ultérieur vers un visa H-1B. L’article recense les erreurs fréquentes — soumettre un formulaire 1040 résident au lieu du 1040-NR non-résident, manquer les échéances du 15 avril ou du 15 juin, ou ne pas appliquer les déductions prévues par le traité fiscal Inde-USA sur les salaires — qui ont conduit à des demandes de preuves supplémentaires (RFE) et, dans de rares cas, à des refus de visa lors des entretiens consulaires de renouvellement.
Les équipes de mobilité des entreprises indiennes qui sponsorisent des diplômés sous STEM OPT devraient diffuser ce rappel ; un dossier fiscal irréprochable est de plus en plus pris en compte par l’USCIS lors des décisions. Les universités ont commencé à organiser des ateliers, et plusieurs cabinets du Big 4 proposent des licences Sprintax à tarif réduit en février-mars pour permettre aux étudiants de préparer eux-mêmes leurs déclarations.
Conseil pratique : les étudiants ayant exercé des activités de covoiturage ou de freelance à distance — souvent interdites par les règles de visa — doivent déclarer ces revenus ; une sous-déclaration peut entraîner des pénalités fiscales et des violations de statut. L’article clarifie également les règles concernant le SSN et l’ITIN, une source fréquente de confusion pour les nouveaux arrivants.
À plus long terme, les autorités américaines envisagent d’intégrer une formation de base sur la déclaration fiscale dans l’orientation SEVIS. En attendant, une communication anticipée des employeurs indiens peut faciliter la transition des diplômés du campus au visa H-1B, évitant ainsi les mauvaises surprises au consulat.









