
Le média spécialisé *Travel & Tour World* a publié le 29 novembre un article explicatif détaillant comment le Canada, le Mexique, le Brésil et plusieurs pays des Caraïbes sont désormais soumis à la même taxe de 30 $ US sur le formulaire I-94 pour les passages terrestres, conformément à la loi « One Big Beautiful Bill Act ». Bien que l’article reprenne principalement les réglementations du Département de la Sécurité intérieure (DHS), il présente l’information de manière à ce que les équipes mobilité puissent la transmettre facilement aux employés.
Pour les professionnels brésiliens qui traversent régulièrement les frontières sud ou nord des États-Unis — conducteurs routiers livrant des pièces automobiles en juste-à-temps, auditeurs visitant des maquiladoras, ou techniciens alternant entre centres de données canadiens et américains — l’article détaille les modalités de paiement, les catégories d’exemption et le mécanisme d’indexation à l’inflation. En plaçant le Brésil aux côtés du Canada et du Mexique, le texte souligne que Brasilia ne dispose pas de leviers pour négocier des exemptions comparables aux accords de réciprocité des visas qu’elle cherche ailleurs.
Pourquoi est-ce important ? Combinée à l’allongement des délais d’entretien pour les visas américains (São Paulo affiche plus de 300 jours d’attente pour un premier visa B) et à la possible réintroduction l’an prochain de la « taxe d’intégrité des visas » par Washington, cette nouvelle charge illustre une hausse constante du coût de la mobilité entre le Brésil et les États-Unis. Les entreprises aux chaînes d’approvisionnement nord-américaines intégrées doivent revoir leurs modèles de coûts et sensibiliser leurs voyageurs à la différence entre entrées aériennes et terrestres.
L’article met aussi en garde sur un point de conformité : les voyageurs qui paient en ligne doivent impérativement conserver leur reçu numérique sous peine de subir une inspection secondaire. Les agents des douanes (CBP) ont reçu pour consigne de refuser les exonérations même en cas de panne des systèmes, ce qui oblige les voyageurs à anticiper leurs démarches.
Dans l’ensemble, cet article confirme une tendance vers des politiques frontalières basées sur le principe du « payeur utilisateur », susceptibles d’influencer les choix d’itinéraires, les budgets voyages, voire la faisabilité de futures missions courtes impliquant des déplacements transfrontaliers.
Pour les professionnels brésiliens qui traversent régulièrement les frontières sud ou nord des États-Unis — conducteurs routiers livrant des pièces automobiles en juste-à-temps, auditeurs visitant des maquiladoras, ou techniciens alternant entre centres de données canadiens et américains — l’article détaille les modalités de paiement, les catégories d’exemption et le mécanisme d’indexation à l’inflation. En plaçant le Brésil aux côtés du Canada et du Mexique, le texte souligne que Brasilia ne dispose pas de leviers pour négocier des exemptions comparables aux accords de réciprocité des visas qu’elle cherche ailleurs.
Pourquoi est-ce important ? Combinée à l’allongement des délais d’entretien pour les visas américains (São Paulo affiche plus de 300 jours d’attente pour un premier visa B) et à la possible réintroduction l’an prochain de la « taxe d’intégrité des visas » par Washington, cette nouvelle charge illustre une hausse constante du coût de la mobilité entre le Brésil et les États-Unis. Les entreprises aux chaînes d’approvisionnement nord-américaines intégrées doivent revoir leurs modèles de coûts et sensibiliser leurs voyageurs à la différence entre entrées aériennes et terrestres.
L’article met aussi en garde sur un point de conformité : les voyageurs qui paient en ligne doivent impérativement conserver leur reçu numérique sous peine de subir une inspection secondaire. Les agents des douanes (CBP) ont reçu pour consigne de refuser les exonérations même en cas de panne des systèmes, ce qui oblige les voyageurs à anticiper leurs démarches.
Dans l’ensemble, cet article confirme une tendance vers des politiques frontalières basées sur le principe du « payeur utilisateur », susceptibles d’influencer les choix d’itinéraires, les budgets voyages, voire la faisabilité de futures missions courtes impliquant des déplacements transfrontaliers.










