
La stratégie de la Chine visant à élargir ses régimes unilatéraux d’exemption de visa et à étendre son programme de transit sans visa de 240 heures porte déjà ses fruits. Les statistiques de trafic publiées le 28 novembre montrent que **les entrées de visiteurs étrangers à Pékin ont bondi de 35 % en un an, atteignant 5,78 millions de passages**, contribuant à une hausse globale de 18 % des flux dans les points d’entrée de la capitale cette année. À l’échelle nationale, des villes comme Xiamen, en bord de mer, jusqu’à Datong, en intérieur, battent des records d’avant la pandémie, alors que les compagnies aériennes rétablissent leurs capacités et ouvrent de nouvelles liaisons pour profiter des règles d’entrée simplifiées.
Selon l’Administration nationale de l’immigration, environ 60 % des étrangers arrivant en Chine cette année l’ont fait sous un régime d’exemption de visa ou avec un permis d’entrée temporaire. La progression est particulièrement marquée dans les villes de second rang : Xiamen a enregistré près d’un million d’arrivées étrangères, tandis que Datong a franchi pour la première fois le cap des 50 000 visiteurs grâce à de nouvelles liaisons aériennes vers Moscou et Séoul. Dix aéroports supplémentaires ont été modernisés ce mois-ci pour faciliter le traitement des « transits directs », et la liste des ports éligibles à l’exemption de transit de 240 heures s’étend désormais à 65.
Pour les multinationales, cette nouvelle donne se traduit par moins de lettres d’invitation, une planification des déplacements plus rapide et des coûts de conformité réduits. Les ingénieurs commerciaux peuvent désormais être dépêchés pour résoudre des problèmes sur les lignes de production avec un préavis de 48 heures, et les agendas des réunions régionales n’ont plus besoin d’être raccourcis pour respecter une escale de 72 heures. Les équipes RH mettent à jour leurs guides internes de voyage pour rappeler que les passeports doivent toujours être valides au moins six mois et que les billets de continuation sont obligatoires pour bénéficier des exemptions de transit.
Le secteur de l’hôtellerie ressent déjà cet élan : les hôtels de Shanghai et Guangzhou enregistrent des augmentations à deux chiffres des réservations anticipées en provenance d’Europe et d’Amérique latine, tandis que les organisateurs de conférences constatent que le nombre de délégués internationaux se rapproche enfin des niveaux de 2019. Les analystes de Ctrip prévoient une reprise complète des capacités d’accueil d’ici mi-2026 si les politiques actuelles sont maintenues.
Avec Pékin qui annonce que le programme d’exemption se poursuivra au moins jusqu’à fin 2026 — la Suède ayant récemment été ajoutée à la liste —, les planificateurs d’entreprise peuvent désormais budgéter un volume accru de déplacements pour formations, démonstrations clients et séminaires régionaux sur le territoire chinois, sans les contraintes administratives liées aux visas de court séjour.
Selon l’Administration nationale de l’immigration, environ 60 % des étrangers arrivant en Chine cette année l’ont fait sous un régime d’exemption de visa ou avec un permis d’entrée temporaire. La progression est particulièrement marquée dans les villes de second rang : Xiamen a enregistré près d’un million d’arrivées étrangères, tandis que Datong a franchi pour la première fois le cap des 50 000 visiteurs grâce à de nouvelles liaisons aériennes vers Moscou et Séoul. Dix aéroports supplémentaires ont été modernisés ce mois-ci pour faciliter le traitement des « transits directs », et la liste des ports éligibles à l’exemption de transit de 240 heures s’étend désormais à 65.
Pour les multinationales, cette nouvelle donne se traduit par moins de lettres d’invitation, une planification des déplacements plus rapide et des coûts de conformité réduits. Les ingénieurs commerciaux peuvent désormais être dépêchés pour résoudre des problèmes sur les lignes de production avec un préavis de 48 heures, et les agendas des réunions régionales n’ont plus besoin d’être raccourcis pour respecter une escale de 72 heures. Les équipes RH mettent à jour leurs guides internes de voyage pour rappeler que les passeports doivent toujours être valides au moins six mois et que les billets de continuation sont obligatoires pour bénéficier des exemptions de transit.
Le secteur de l’hôtellerie ressent déjà cet élan : les hôtels de Shanghai et Guangzhou enregistrent des augmentations à deux chiffres des réservations anticipées en provenance d’Europe et d’Amérique latine, tandis que les organisateurs de conférences constatent que le nombre de délégués internationaux se rapproche enfin des niveaux de 2019. Les analystes de Ctrip prévoient une reprise complète des capacités d’accueil d’ici mi-2026 si les politiques actuelles sont maintenues.
Avec Pékin qui annonce que le programme d’exemption se poursuivra au moins jusqu’à fin 2026 — la Suède ayant récemment été ajoutée à la liste —, les planificateurs d’entreprise peuvent désormais budgéter un volume accru de déplacements pour formations, démonstrations clients et séminaires régionaux sur le territoire chinois, sans les contraintes administratives liées aux visas de court séjour.









