
Le ministère de l’Intérieur a publié un rare avis public invitant les futurs étudiants internationaux à soumettre leurs demandes de visa étudiant (sous-classe 500) « le plus tôt possible » pour l’année académique 2026. Publié le 28 novembre, cet avis met en garde contre le refus systématique des dossiers incomplets ou leur traitement prolongé durant la période de forte affluence, de décembre à février.
Les autorités signalent que les principales lacunes concernent l’absence de déclaration d’étudiant authentique (Genuine Student), des preuves de fonds insuffisantes et des résultats de tests d’anglais non vérifiés. Selon la Directive ministérielle 115, entrée en vigueur ce mois-ci, les agents chargés des dossiers peuvent prioriser les demandes complètes provenant d’établissements n’ayant pas encore atteint 80 % de leur quota d’inscriptions à l’étranger, ce qui pénalise davantage les candidats présentant des documents partiels.
Le secteur de l’éducation internationale en Australie, évalué à 41 milliards de dollars australiens, est sous une surveillance accrue suite à des allégations de fraudes aux visas et de « collèges fantômes ». En réponse, le ministère de l’Intérieur a doublé les audits de risque et créé une nouvelle unité d’intégrité au sein du Réseau de délivrance des visas. Pour les universités et les organismes de formation, les retards dans l’obtention des visas menacent la participation aux sessions d’orientation et la trésorerie, tandis que les employeurs dépendant des filières de travail post-études risquent des pénuries de compétences.
Les agents d’éducation recommandent aux étudiants d’anticiper la collecte des données biométriques, des examens médicaux et des justificatifs financiers afin d’éviter des demandes de compléments d’information. Les entreprises parrainant des personnes à charge dans le cadre de programmes de mobilité doivent également veiller à soumettre des dossiers complets en une seule fois, et non par étapes.
Les tableaux de suivi des délais de traitement indiquent actuellement un délai médian de 32 jours pour l’octroi des visas étudiants à l’étranger, mais les acteurs du secteur prévoient une hausse au-delà de 50 jours en janvier, sauf amélioration de la conformité.
Les autorités signalent que les principales lacunes concernent l’absence de déclaration d’étudiant authentique (Genuine Student), des preuves de fonds insuffisantes et des résultats de tests d’anglais non vérifiés. Selon la Directive ministérielle 115, entrée en vigueur ce mois-ci, les agents chargés des dossiers peuvent prioriser les demandes complètes provenant d’établissements n’ayant pas encore atteint 80 % de leur quota d’inscriptions à l’étranger, ce qui pénalise davantage les candidats présentant des documents partiels.
Le secteur de l’éducation internationale en Australie, évalué à 41 milliards de dollars australiens, est sous une surveillance accrue suite à des allégations de fraudes aux visas et de « collèges fantômes ». En réponse, le ministère de l’Intérieur a doublé les audits de risque et créé une nouvelle unité d’intégrité au sein du Réseau de délivrance des visas. Pour les universités et les organismes de formation, les retards dans l’obtention des visas menacent la participation aux sessions d’orientation et la trésorerie, tandis que les employeurs dépendant des filières de travail post-études risquent des pénuries de compétences.
Les agents d’éducation recommandent aux étudiants d’anticiper la collecte des données biométriques, des examens médicaux et des justificatifs financiers afin d’éviter des demandes de compléments d’information. Les entreprises parrainant des personnes à charge dans le cadre de programmes de mobilité doivent également veiller à soumettre des dossiers complets en une seule fois, et non par étapes.
Les tableaux de suivi des délais de traitement indiquent actuellement un délai médian de 32 jours pour l’octroi des visas étudiants à l’étranger, mais les acteurs du secteur prévoient une hausse au-delà de 50 jours en janvier, sauf amélioration de la conformité.










