
Dans un communiqué très attendu publié le 28 novembre, IRCC a précisé comment le plafond d’étudiants internationaux pour l’année prochaine sera réparti entre les provinces et territoires. Le ministère n’acceptera pas plus de 309 670 demandes de permis d’études en 2026 et vise à délivrer environ 180 000 permis, soit environ 20 % de moins qu’en 2025. L’Ontario recevra la plus grande part (104 780 demandes, 70 074 permis), suivi du Québec et de la Colombie-Britannique. Le Nunavut, qui ne compte actuellement aucun établissement d’enseignement désigné, ne bénéficiera d’aucune allocation.
Les exemptions ont été élargies : les étudiants en master et doctorat dans les établissements publics, les titulaires de permis actuels demandant une prolongation, les élèves du primaire et du secondaire ainsi que certains groupes vulnérables ne seront pas comptabilisés dans le plafond. IRCC a également rappelé que les lettres d’attestation provinciales (PAL/TAL) resteront obligatoires pour la plupart des nouveaux candidats, contraignant les collèges et universités à gérer les offres d’admission plusieurs mois à l’avance.
Pour les établissements postsecondaires, ces chiffres clarifient les hypothèses de planification. Les collèges de l’Ontario, déjà confrontés à une baisse de 35 % des inscriptions en 2025, doivent désormais revoir leurs budgets face à un nouveau recul, tandis que les institutions du Canada atlantique, qui bénéficient d’allocations proportionnellement plus élevées, voient de nouvelles opportunités pour attirer des étudiants déplacés des provinces surchargées.
Les employeurs des secteurs à forte présence de stages coopératifs, comme les services informatiques et l’hôtellerie, ressentiront les répercussions. Moins de permis pour les étudiants de premier cycle pourrait réduire l’offre de main-d’œuvre à temps partiel, mais l’exemption pour les diplômés maintient un flux de talents hautement qualifiés éligibles à des permis de travail accélérés et, à terme, à la résidence permanente.
Les équipes en mobilité internationale doivent noter que le plafond s’applique aux demandes initiales de permis d’études déposées hors du Canada. Les changements de statut sur place et la délivrance de permis de travail post-diplôme restent pour l’instant illimités, offrant des stratégies alternatives aux entreprises qui recrutent des diplômés déjà présents au Canada.
Les exemptions ont été élargies : les étudiants en master et doctorat dans les établissements publics, les titulaires de permis actuels demandant une prolongation, les élèves du primaire et du secondaire ainsi que certains groupes vulnérables ne seront pas comptabilisés dans le plafond. IRCC a également rappelé que les lettres d’attestation provinciales (PAL/TAL) resteront obligatoires pour la plupart des nouveaux candidats, contraignant les collèges et universités à gérer les offres d’admission plusieurs mois à l’avance.
Pour les établissements postsecondaires, ces chiffres clarifient les hypothèses de planification. Les collèges de l’Ontario, déjà confrontés à une baisse de 35 % des inscriptions en 2025, doivent désormais revoir leurs budgets face à un nouveau recul, tandis que les institutions du Canada atlantique, qui bénéficient d’allocations proportionnellement plus élevées, voient de nouvelles opportunités pour attirer des étudiants déplacés des provinces surchargées.
Les employeurs des secteurs à forte présence de stages coopératifs, comme les services informatiques et l’hôtellerie, ressentiront les répercussions. Moins de permis pour les étudiants de premier cycle pourrait réduire l’offre de main-d’œuvre à temps partiel, mais l’exemption pour les diplômés maintient un flux de talents hautement qualifiés éligibles à des permis de travail accélérés et, à terme, à la résidence permanente.
Les équipes en mobilité internationale doivent noter que le plafond s’applique aux demandes initiales de permis d’études déposées hors du Canada. Les changements de statut sur place et la délivrance de permis de travail post-diplôme restent pour l’instant illimités, offrant des stratégies alternatives aux entreprises qui recrutent des diplômés déjà présents au Canada.










