
Le portail Smartraveller du gouvernement australien a mis à jour son avis sur l’Autriche le 27 novembre, signalant que le nouveau Système d’Entrée/Sortie (EES) de l’Union européenne est désormais en vigueur pour tous les ressortissants hors UE.
Avec l’EES, les visiteurs pour la première fois devront fournir leurs empreintes digitales et une photo faciale à la frontière ; les voyageurs réguliers n’auront qu’à fournir une seule donnée biométrique. Ces informations remplacent le tampon sur le passeport et seront conservées pendant trois ans, permettant de comptabiliser automatiquement la durée du séjour selon la règle Schengen des 90 jours sur 180.
Les syndicats de la police aux frontières autrichienne préviennent que le déploiement initial – notamment dans les aéroports de Vienne, Salzbourg et Innsbruck – pourrait rallonger de plusieurs minutes le passage par passager lors des pics d’affluence, le temps que les voyageurs s’habituent aux bornes. Les points de passage terrestres avec la Suisse et le Liechtenstein sont également en cours de modernisation.
Les responsables des voyages d’affaires sont invités à conseiller aux employés venant de pays bénéficiant de l’exemption de visa, comme les États-Unis, l’Australie et le Japon, de prévoir un temps supplémentaire pour leurs correspondances et de vérifier que leurs passeports sont lisibles par machine et en bon état. Les compagnies aériennes pourraient refuser l’embarquement aux passagers ne respectant pas les nouvelles exigences biométriques.
L’EES prépare l’arrivée du Système européen d’information et d’autorisation de voyage (ETIAS), dont le lancement, initialement retardé, est désormais prévu pour mi-2026. Les programmes de mobilité doivent donc commencer à collecter les données historiques de séjour Schengen de leurs employés afin d’éviter tout dépassement involontaire de durée une fois le contrôle automatisé renforcé.
Avec l’EES, les visiteurs pour la première fois devront fournir leurs empreintes digitales et une photo faciale à la frontière ; les voyageurs réguliers n’auront qu’à fournir une seule donnée biométrique. Ces informations remplacent le tampon sur le passeport et seront conservées pendant trois ans, permettant de comptabiliser automatiquement la durée du séjour selon la règle Schengen des 90 jours sur 180.
Les syndicats de la police aux frontières autrichienne préviennent que le déploiement initial – notamment dans les aéroports de Vienne, Salzbourg et Innsbruck – pourrait rallonger de plusieurs minutes le passage par passager lors des pics d’affluence, le temps que les voyageurs s’habituent aux bornes. Les points de passage terrestres avec la Suisse et le Liechtenstein sont également en cours de modernisation.
Les responsables des voyages d’affaires sont invités à conseiller aux employés venant de pays bénéficiant de l’exemption de visa, comme les États-Unis, l’Australie et le Japon, de prévoir un temps supplémentaire pour leurs correspondances et de vérifier que leurs passeports sont lisibles par machine et en bon état. Les compagnies aériennes pourraient refuser l’embarquement aux passagers ne respectant pas les nouvelles exigences biométriques.
L’EES prépare l’arrivée du Système européen d’information et d’autorisation de voyage (ETIAS), dont le lancement, initialement retardé, est désormais prévu pour mi-2026. Les programmes de mobilité doivent donc commencer à collecter les données historiques de séjour Schengen de leurs employés afin d’éviter tout dépassement involontaire de durée une fois le contrôle automatisé renforcé.











