
Un engin explosif improvisé a explosé sur le corridor ferroviaire stratégique Varsovie–Lublin tard le 22 novembre, interrompant tout trafic passager et fret pendant 36 heures, le temps pour les ingénieurs de remplacer 500 mètres de voie. Cet axe est crucial pour les navetteurs, le transport de conteneurs et l’acheminement de l’aide humanitaire vers l’Ukraine ; les déviations via Radom ont ajouté jusqu’à 200 km et 18 heures aux délais de livraison, mettant sous pression les stocks en flux tendu des usines automobiles de la zone économique spéciale de Lublin.
Le Premier ministre Donald Tusk a déclaré au parlement que les enquêteurs disposent de « preuves crédibles » reliant l’attentat à des agents des services de renseignement russes opérant via la Biélorussie. Le parquet a annoncé l’arrestation d’un troisième suspect ukrainien ; deux complices auraient fui vers la Biélorussie. En réponse, la Pologne a révoqué la dernière licence consulaire russe et appelé ses partenaires européens à expulser plusieurs attachés militaires.
LOT Polish Airlines a redirigé ses liaisons intérieures et conseillé aux passagers de terminer leur trajet par la route, tandis que les entreprises ont mis à jour leurs protocoles de sécurité habituellement réservés aux voyages internationaux. Les consultants en sécurité recommandent de surveiller les alertes de l’ABW, de s’assurer que les voyageurs disposent de moyens de communication hors ligne et de cartographier des itinéraires alternatifs vers les hubs logistiques de l’est.
Cet incident a ravivé le débat autour d’un projet de loi autorisant PKP Intercity à partager les listes de passagers avec les agences antiterroristes. Les assureurs prévoient une hausse des primes pour le fret sur les corridors ferroviaires de l’est, et les entreprises révisent leurs matrices de risques liés aux déplacements, conseillant à leurs employés d’éviter les trajets ferroviaires à l’est de Varsovie pendant plusieurs semaines.
Le Premier ministre Donald Tusk a déclaré au parlement que les enquêteurs disposent de « preuves crédibles » reliant l’attentat à des agents des services de renseignement russes opérant via la Biélorussie. Le parquet a annoncé l’arrestation d’un troisième suspect ukrainien ; deux complices auraient fui vers la Biélorussie. En réponse, la Pologne a révoqué la dernière licence consulaire russe et appelé ses partenaires européens à expulser plusieurs attachés militaires.
LOT Polish Airlines a redirigé ses liaisons intérieures et conseillé aux passagers de terminer leur trajet par la route, tandis que les entreprises ont mis à jour leurs protocoles de sécurité habituellement réservés aux voyages internationaux. Les consultants en sécurité recommandent de surveiller les alertes de l’ABW, de s’assurer que les voyageurs disposent de moyens de communication hors ligne et de cartographier des itinéraires alternatifs vers les hubs logistiques de l’est.
Cet incident a ravivé le débat autour d’un projet de loi autorisant PKP Intercity à partager les listes de passagers avec les agences antiterroristes. Les assureurs prévoient une hausse des primes pour le fret sur les corridors ferroviaires de l’est, et les entreprises révisent leurs matrices de risques liés aux déplacements, conseillant à leurs employés d’éviter les trajets ferroviaires à l’est de Varsovie pendant plusieurs semaines.








