
L’ambassade d’Italie à Colombo a commencé à accepter les demandes de visa de travail des ressortissants sri-lankais détenteurs d’un Nulla Osta (autorisation de travail) valide, délivré dans le cadre du Decreto Flussi 2025. Publié le 26 novembre, l’avis précise que les rendez-vous doivent être pris exclusivement via le partenaire externalisé VFS Global ; les demandes sans rendez-vous ou faites par des tiers ne seront pas acceptées.
Le Decreto Flussi italien fixe des quotas annuels pour les travailleurs hors UE, avec un total de 136 000 permis cette année, répartis entre les catégories saisonnières, non saisonnières et indépendantes. Le Sri Lanka a obtenu 3 500 places, un nombre rapidement saturé dès l’ouverture du « click-day » en ligne en mars. Les candidats retenus doivent désormais passer par l’étape consulaire, incluant la prise d’empreintes biométriques et la vérification des contrats de logement et de travail, avant de se rendre en Italie pour finaliser leur permis de séjour (permessi di soggiorno).
L’ambassade indique que des rendez-vous sont actuellement « disponibles sous quelques jours », mais prévient que la demande va fortement augmenter avec l’arrivée de la saison de plantation 2026, période où les employeurs agricoles cherchent à recruter. Les candidats ne trouvant pas de créneau sont invités à contacter directement la section visa par email ; une fois le dossier déposé, le traitement devrait être rapide.
Pour les équipes de mobilité internationale, cette mise à jour dissipe les incertitudes sur les délais post-autorisation. Les employeurs italiens doivent coordonner avec leurs recrues sri-lankaises pour s’assurer qu’elles voyagent dans les six mois de validité du Nulla Osta et qu’elles rassemblent les documents nécessaires — assurance santé, contrats de logement et lettres de travail — pour transformer le visa d’entrée en permis de séjour à l’arrivée.
Le non-respect du protocole strict de prise de rendez-vous pourrait entraîner l’invalidation du Nulla Osta, obligeant les employeurs à retenter leur chance lors de la loterie des quotas l’année suivante. Les entreprises sont donc invitées à revoir leurs partenaires de chaîne d’approvisionnement et à interdire le recours à des intermédiaires non autorisés, une pratique que l’ambassade continue de réprimer.
Le Decreto Flussi italien fixe des quotas annuels pour les travailleurs hors UE, avec un total de 136 000 permis cette année, répartis entre les catégories saisonnières, non saisonnières et indépendantes. Le Sri Lanka a obtenu 3 500 places, un nombre rapidement saturé dès l’ouverture du « click-day » en ligne en mars. Les candidats retenus doivent désormais passer par l’étape consulaire, incluant la prise d’empreintes biométriques et la vérification des contrats de logement et de travail, avant de se rendre en Italie pour finaliser leur permis de séjour (permessi di soggiorno).
L’ambassade indique que des rendez-vous sont actuellement « disponibles sous quelques jours », mais prévient que la demande va fortement augmenter avec l’arrivée de la saison de plantation 2026, période où les employeurs agricoles cherchent à recruter. Les candidats ne trouvant pas de créneau sont invités à contacter directement la section visa par email ; une fois le dossier déposé, le traitement devrait être rapide.
Pour les équipes de mobilité internationale, cette mise à jour dissipe les incertitudes sur les délais post-autorisation. Les employeurs italiens doivent coordonner avec leurs recrues sri-lankaises pour s’assurer qu’elles voyagent dans les six mois de validité du Nulla Osta et qu’elles rassemblent les documents nécessaires — assurance santé, contrats de logement et lettres de travail — pour transformer le visa d’entrée en permis de séjour à l’arrivée.
Le non-respect du protocole strict de prise de rendez-vous pourrait entraîner l’invalidation du Nulla Osta, obligeant les employeurs à retenter leur chance lors de la loterie des quotas l’année suivante. Les entreprises sont donc invitées à revoir leurs partenaires de chaîne d’approvisionnement et à interdire le recours à des intermédiaires non autorisés, une pratique que l’ambassade continue de réprimer.








