
Dans une démarche qui internationalise davantage le programme canadien d’Autorisation de Voyage Électronique (AVE) à faible friction, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a discrètement élargi la liste des pays éligibles en y incluant le Qatar, à compter du 26 novembre 2025. Les ressortissants qataris peuvent désormais embarquer pour le Canada en remplissant une courte demande en ligne, au coût de seulement 7 $ CA, généralement approuvée en quelques minutes. Une fois délivrée, l’AVE reste valide pendant cinq ans — ou jusqu’à l’expiration du passeport du voyageur — permettant plusieurs séjours courts de six mois maximum à chaque fois.
Cette décision s’inscrit dans la stratégie plus large d’Ottawa visant à renforcer ses liens avec les économies du Golfe en forte croissance. Le commerce bilatéral avec le Qatar a dépassé 800 millions de dollars canadiens en 2024, et les entreprises canadiennes dans les secteurs de l’ingénierie, des services énergétiques et de l’éducation ont accru leur présence à Doha en vue des Jeux asiatiques de 2030. La suppression de l’obstacle du visa devrait stimuler les déplacements d’affaires bilatéraux, encourager les investissements qataris dans l’immobilier et les start-ups technologiques canadiennes, et attirer davantage de touristes vers des villes comme Vancouver et Québec.
Pour les entreprises canadiennes, ce changement signifie que les cadres et techniciens basés dans le Golfe peuvent désormais se rendre sur les sites de projets à très court préavis — un enjeu crucial dans des secteurs comme le GNL, l’aviation et les infrastructures de villes intelligentes, où le Qatar investit massivement. Les responsables des déplacements doivent mettre à jour les modèles de lettres d’invitation et les profils des voyageurs pour intégrer la nouvelle exigence d’AVE, et les compagnies aériennes doivent s’assurer que leurs systèmes d’enregistrement reconnaissent le Qatar comme exempt de visa.
L’annonce de l’IRCC indique également que le gouvernement reste engagé à étendre le modèle de l’AVE malgré les consultations récentes sur l’ajout d’une couche biométrique pour les nationalités à risque plus élevé. Selon des sources internes, d’autres membres du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pourraient être envisagés en 2026 si les indicateurs de sécurité restent favorables.
Conseil pratique : bien que l’AVE soit beaucoup plus simple qu’un visa, les voyageurs doivent toujours pouvoir présenter une preuve de continuation de voyage et être prêts à convaincre les agents frontaliers que leur séjour est temporaire. Ceux qui envisagent d’étudier ou de travailler doivent quant à eux obtenir le permis approprié.
Cette décision s’inscrit dans la stratégie plus large d’Ottawa visant à renforcer ses liens avec les économies du Golfe en forte croissance. Le commerce bilatéral avec le Qatar a dépassé 800 millions de dollars canadiens en 2024, et les entreprises canadiennes dans les secteurs de l’ingénierie, des services énergétiques et de l’éducation ont accru leur présence à Doha en vue des Jeux asiatiques de 2030. La suppression de l’obstacle du visa devrait stimuler les déplacements d’affaires bilatéraux, encourager les investissements qataris dans l’immobilier et les start-ups technologiques canadiennes, et attirer davantage de touristes vers des villes comme Vancouver et Québec.
Pour les entreprises canadiennes, ce changement signifie que les cadres et techniciens basés dans le Golfe peuvent désormais se rendre sur les sites de projets à très court préavis — un enjeu crucial dans des secteurs comme le GNL, l’aviation et les infrastructures de villes intelligentes, où le Qatar investit massivement. Les responsables des déplacements doivent mettre à jour les modèles de lettres d’invitation et les profils des voyageurs pour intégrer la nouvelle exigence d’AVE, et les compagnies aériennes doivent s’assurer que leurs systèmes d’enregistrement reconnaissent le Qatar comme exempt de visa.
L’annonce de l’IRCC indique également que le gouvernement reste engagé à étendre le modèle de l’AVE malgré les consultations récentes sur l’ajout d’une couche biométrique pour les nationalités à risque plus élevé. Selon des sources internes, d’autres membres du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pourraient être envisagés en 2026 si les indicateurs de sécurité restent favorables.
Conseil pratique : bien que l’AVE soit beaucoup plus simple qu’un visa, les voyageurs doivent toujours pouvoir présenter une preuve de continuation de voyage et être prêts à convaincre les agents frontaliers que leur séjour est temporaire. Ceux qui envisagent d’étudier ou de travailler doivent quant à eux obtenir le permis approprié.









