
Le secrétaire d’État Marco Rubio a officiellement désigné le réseau de trafic militaire vénézuélien connu sous le nom de Cartel de los Soles comme une organisation terroriste étrangère (FTO) en vertu de l’article 219 de la loi sur l’immigration et la nationalité. Cette décision est entrée en vigueur dès sa publication au Registre fédéral le 24 novembre 2025.
Une fois inscrite sur cette liste, la loi interdit tout « soutien matériel » à cette entité, entraîne des refus de visa obligatoires et impose aux banques américaines de bloquer les transactions liées. Les entreprises multinationales opérant ou ayant des chaînes d’approvisionnement au Venezuela doivent immédiatement effectuer des contrôles de sanctions pour éviter tout lien direct ou indirect avec des individus affiliés au cartel.
Sur le plan de la mobilité, les demandes de visa des personnes soupçonnées d’affiliation seront quasi systématiquement refusées, et les consulats américains renforceront probablement le contrôle des militaires, policiers et employés des entreprises publiques vénézuéliennes. Les employeurs souhaitant transférer des cadres ou ingénieurs vénézuéliens doivent prévoir des délais supplémentaires pour les avis de sécurité et préparer des dossiers solides pour contester d’éventuels motifs d’inadmissibilité.
Cette désignation permet également au Département de la Sécurité intérieure (DHS) de procéder à des expulsions accélérées des suspects et de leur refuser la plupart des avantages liés à l’immigration. Les équipes en charge de la mobilité doivent mettre à jour leurs protocoles de conformité et collaborer avec les experts en sanctions pour vérifier les fournisseurs et les collaborateurs liés au secteur public vénézuélien.
Une fois inscrite sur cette liste, la loi interdit tout « soutien matériel » à cette entité, entraîne des refus de visa obligatoires et impose aux banques américaines de bloquer les transactions liées. Les entreprises multinationales opérant ou ayant des chaînes d’approvisionnement au Venezuela doivent immédiatement effectuer des contrôles de sanctions pour éviter tout lien direct ou indirect avec des individus affiliés au cartel.
Sur le plan de la mobilité, les demandes de visa des personnes soupçonnées d’affiliation seront quasi systématiquement refusées, et les consulats américains renforceront probablement le contrôle des militaires, policiers et employés des entreprises publiques vénézuéliennes. Les employeurs souhaitant transférer des cadres ou ingénieurs vénézuéliens doivent prévoir des délais supplémentaires pour les avis de sécurité et préparer des dossiers solides pour contester d’éventuels motifs d’inadmissibilité.
Cette désignation permet également au Département de la Sécurité intérieure (DHS) de procéder à des expulsions accélérées des suspects et de leur refuser la plupart des avantages liés à l’immigration. Les équipes en charge de la mobilité doivent mettre à jour leurs protocoles de conformité et collaborer avec les experts en sanctions pour vérifier les fournisseurs et les collaborateurs liés au secteur public vénézuélien.








