
Le Département de la Sécurité intérieure a publié un avis au Registre fédéral annonçant la fin officielle du statut de protection temporaire (TPS) pour la Birmanie (Myanmar). Les bénéficiaires actuels — environ 4 000 personnes — perdront leur autorisation de travail et leur protection contre l’expulsion à 23h59 le 26 janvier 2026.
L’USCIS justifie cette décision par une amélioration de la gouvernance, la levée de l’état d’urgence et la tenue d’élections prévues, estimant que la Birmanie ne remplit plus les critères légaux pour le TPS. Des organisations de défense des droits humains contestent cette évaluation, évoquant des conflits persistants, des arrestations arbitraires et des restrictions des libertés civiles.
Les employeurs ayant embauché des ressortissants birmans bénéficiant d’extensions automatiques de leur permis de travail doivent anticiper des ajustements dans leurs effectifs ou aider à l’obtention d’un autre statut — comme les visas H-1B, O-1 ou les cartes vertes parrainées par l’employeur — bien avant la date butoir de janvier. Les responsables des déplacements doivent avertir les titulaires du TPS que tout départ des États-Unis après cette date entraînera la perte de leur statut et pourrait compliquer leurs futures demandes de visa.
Cette décision s’inscrit dans la volonté de l’administration de restreindre l’usage des dispositifs humanitaires en matière d’immigration. Les programmes de mobilité doivent vérifier leurs effectifs pour identifier les bénéficiaires du TPS birman et mettre à jour les dossiers I-9 dès que de nouveaux documents sont délivrés ou que l’autorisation de travail expire.
L’USCIS justifie cette décision par une amélioration de la gouvernance, la levée de l’état d’urgence et la tenue d’élections prévues, estimant que la Birmanie ne remplit plus les critères légaux pour le TPS. Des organisations de défense des droits humains contestent cette évaluation, évoquant des conflits persistants, des arrestations arbitraires et des restrictions des libertés civiles.
Les employeurs ayant embauché des ressortissants birmans bénéficiant d’extensions automatiques de leur permis de travail doivent anticiper des ajustements dans leurs effectifs ou aider à l’obtention d’un autre statut — comme les visas H-1B, O-1 ou les cartes vertes parrainées par l’employeur — bien avant la date butoir de janvier. Les responsables des déplacements doivent avertir les titulaires du TPS que tout départ des États-Unis après cette date entraînera la perte de leur statut et pourrait compliquer leurs futures demandes de visa.
Cette décision s’inscrit dans la volonté de l’administration de restreindre l’usage des dispositifs humanitaires en matière d’immigration. Les programmes de mobilité doivent vérifier leurs effectifs pour identifier les bénéficiaires du TPS birman et mettre à jour les dossiers I-9 dès que de nouveaux documents sont délivrés ou que l’autorisation de travail expire.





