
Le système Entrée express du Canada a provoqué une surprise mardi soir, le 25 novembre 2025, en invitant 777 candidats du Programme des candidats des provinces (PCP) à présenter une demande de résidence permanente. Le seuil du Système de classement global (SCG) est tombé à 699, son niveau le plus bas pour un tirage spécifique au PCP depuis neuf mois, soulignant l’orientation d’Ottawa vers une sélection régionale dans le cadre du Plan des niveaux d’immigration 2026.
Ce tirage se distingue par son ampleur et son calendrier. Les tirages PCP ont habituellement lieu le lundi ; IRCC a déplacé cette session au mardi, alimentant les spéculations sur une nouvelle fréquence. Le nombre d’invitations est le deuxième plus élevé cette année pour un tirage PCP, dépassé seulement par celui du 14 avril qui avait émis 825 invitations. La baisse du score SCG reflète une activité accrue des nominations provinciales, alors que les provinces s’efforcent d’utiliser leur quota 2025 avant la fin de l’année.
Pour les employeurs, ce tirage souligne l’importance croissante des voies provinciales. Les candidats PCP disposent déjà d’une nomination provinciale en phase avec les besoins locaux du marché du travail, réduisant ainsi les risques liés à la relocalisation pour les entreprises recrutant en dehors des grands centres urbains. Les équipes de recrutement doivent suivre de près les flux de nominations de chaque province — beaucoup ciblent des professions spécifiques ou une expérience locale — afin d’optimiser leurs viviers de talents avant 2026, année où les admissions via le PCP dépasseront 91 000.
Les candidats sans nomination provinciale n’ont pas vu de mouvement cette semaine, mais les analystes anticipent un tirage pour la Catégorie de l’expérience canadienne dans les prochains jours, selon la séquence récente. Quoi qu’il en soit, ces résultats confirment que le système Entrée express n’est plus un modèle unique ; une stratégie d’engagement provincial devient rapidement indispensable pour les employeurs comme pour les candidats.
Les responsables mobilité doivent mettre à jour les modèles de lettres d’offre pour refléter des délais de traitement plus rapides — les candidats PCP reçoivent souvent la confirmation de leur résidence permanente en moins de six mois — et revoir les allocations de relocalisation, car de nombreux programmes provinciaux imposent des conditions de fonds de règlement ou d’obligations de résidence.
Ce tirage se distingue par son ampleur et son calendrier. Les tirages PCP ont habituellement lieu le lundi ; IRCC a déplacé cette session au mardi, alimentant les spéculations sur une nouvelle fréquence. Le nombre d’invitations est le deuxième plus élevé cette année pour un tirage PCP, dépassé seulement par celui du 14 avril qui avait émis 825 invitations. La baisse du score SCG reflète une activité accrue des nominations provinciales, alors que les provinces s’efforcent d’utiliser leur quota 2025 avant la fin de l’année.
Pour les employeurs, ce tirage souligne l’importance croissante des voies provinciales. Les candidats PCP disposent déjà d’une nomination provinciale en phase avec les besoins locaux du marché du travail, réduisant ainsi les risques liés à la relocalisation pour les entreprises recrutant en dehors des grands centres urbains. Les équipes de recrutement doivent suivre de près les flux de nominations de chaque province — beaucoup ciblent des professions spécifiques ou une expérience locale — afin d’optimiser leurs viviers de talents avant 2026, année où les admissions via le PCP dépasseront 91 000.
Les candidats sans nomination provinciale n’ont pas vu de mouvement cette semaine, mais les analystes anticipent un tirage pour la Catégorie de l’expérience canadienne dans les prochains jours, selon la séquence récente. Quoi qu’il en soit, ces résultats confirment que le système Entrée express n’est plus un modèle unique ; une stratégie d’engagement provincial devient rapidement indispensable pour les employeurs comme pour les candidats.
Les responsables mobilité doivent mettre à jour les modèles de lettres d’offre pour refléter des délais de traitement plus rapides — les candidats PCP reçoivent souvent la confirmation de leur résidence permanente en moins de six mois — et revoir les allocations de relocalisation, car de nombreux programmes provinciaux imposent des conditions de fonds de règlement ou d’obligations de résidence.







