
Dans son bulletin de l’après-midi du 24 novembre, la Garde des frontières polonaise (SG) a confirmé 45 tentatives de franchissement illégal depuis la Biélorussie entre le 21 et le 23 novembre, soulignant la pression persistante sur la frontière orientale du pays. La zone tampon — instaurée en 2024 et couvrant désormais 78 kilomètres — reste en vigueur, maintenant les personnes non autorisées à au moins 200 mètres (et jusqu’à 4 kilomètres dans les zones écologiquement sensibles) de la clôture frontalière.
Le même rapport détaille les résultats des contrôles temporaires rétablis en juillet aux frontières autrement exemptes de passeport avec l’Allemagne et la Lituanie. Entre le 21 et le 23 novembre, les agents ont contrôlé plus de 28 700 voyageurs et 14 200 véhicules, refusant l’entrée à sept personnes et arrêtant un facilitateur sur l’axe lituanien, tandis que les équipes côté allemand ont vérifié 17 500 passagers et près de 8 400 véhicules, refusant l’entrée à une personne. Varsovie a désormais prolongé ces contrôles internes à l’espace Schengen de six mois supplémentaires — jusqu’au 4 avril 2026 — invoquant une « migration instrumentalisée » et des réseaux de passeurs.
Pour les responsables de la mobilité en entreprise, le message est clair : même les ressortissants de l’UE peuvent être soumis à des contrôles d’identité ponctuels lorsqu’ils circulent en voiture ou en train vers la Pologne. Les employeurs dont le personnel traverse quotidiennement l’Oder ou le couloir de Suwałki doivent prévoir des marges supplémentaires dans les plannings ; les transporteurs routiers doivent intégrer d’éventuels retards dans leurs horaires de livraison just-in-time. Les équipes RH doivent rappeler aux collaborateurs non européens qu’ils doivent impérativement porter passeports et cartes de séjour lors de déplacements internes dans l’espace Schengen, jusqu’à nouvel ordre.
Sur le plan politique, ces chiffres renforcent l’appel de Varsovie à une stratégie européenne globale combinant technologies de contrôle aux frontières extérieures — comme le nouveau Système d’Entrée/Sortie (EES) — et mesures internes flexibles, activables en cas d’alerte sécuritaire. Les chambres de commerce soutiennent cette approche fondée sur l’évaluation des risques, mais avertissent qu’un maintien prolongé des contrôles ponctuels pourrait nuire au statut de la Pologne comme hub logistique régional si ces mesures ne sont pas levées une fois la pression migratoire hybride retombée.
Le même rapport détaille les résultats des contrôles temporaires rétablis en juillet aux frontières autrement exemptes de passeport avec l’Allemagne et la Lituanie. Entre le 21 et le 23 novembre, les agents ont contrôlé plus de 28 700 voyageurs et 14 200 véhicules, refusant l’entrée à sept personnes et arrêtant un facilitateur sur l’axe lituanien, tandis que les équipes côté allemand ont vérifié 17 500 passagers et près de 8 400 véhicules, refusant l’entrée à une personne. Varsovie a désormais prolongé ces contrôles internes à l’espace Schengen de six mois supplémentaires — jusqu’au 4 avril 2026 — invoquant une « migration instrumentalisée » et des réseaux de passeurs.
Pour les responsables de la mobilité en entreprise, le message est clair : même les ressortissants de l’UE peuvent être soumis à des contrôles d’identité ponctuels lorsqu’ils circulent en voiture ou en train vers la Pologne. Les employeurs dont le personnel traverse quotidiennement l’Oder ou le couloir de Suwałki doivent prévoir des marges supplémentaires dans les plannings ; les transporteurs routiers doivent intégrer d’éventuels retards dans leurs horaires de livraison just-in-time. Les équipes RH doivent rappeler aux collaborateurs non européens qu’ils doivent impérativement porter passeports et cartes de séjour lors de déplacements internes dans l’espace Schengen, jusqu’à nouvel ordre.
Sur le plan politique, ces chiffres renforcent l’appel de Varsovie à une stratégie européenne globale combinant technologies de contrôle aux frontières extérieures — comme le nouveau Système d’Entrée/Sortie (EES) — et mesures internes flexibles, activables en cas d’alerte sécuritaire. Les chambres de commerce soutiennent cette approche fondée sur l’évaluation des risques, mais avertissent qu’un maintien prolongé des contrôles ponctuels pourrait nuire au statut de la Pologne comme hub logistique régional si ces mesures ne sont pas levées une fois la pression migratoire hybride retombée.








