
Commentant la publication des quotas migratoires pour 2026-2028, le sénateur des Frères d’Italie, Michele Barcaiuolo, a déclaré aux journalistes le 24 novembre que le décret « rétablit la transparence après des années où des intermédiaires criminels manipulaient le système du click-day ». Barcaiuolo a souligné les nouvelles mesures anti-fraude : pré-enregistrement des employeurs, vérification croisée des numéros fiscaux et géorepérage pour bloquer les soumissions multiples depuis une même adresse IP.
Le sénateur a affirmé que ces mesures favoriseront les entreprises légitimes ayant besoin de main-d’œuvre dans l’agriculture, le bâtiment et les soins, tout en éliminant les courtiers qui vendaient des soumissions par procuration à 1 500 € l’emplacement. Des experts du cabinet Mazzeschi notent que, pour la première fois, les employeurs risquent des amendes pouvant atteindre 50 000 € et une interdiction de trois ans de participer aux futurs quotas en cas d’utilisation de faux contrats.
Le décret réserve également 7 500 visas pour des stages professionnels liés aux programmes d’éducation en alternance italiens — une opportunité que les multinationales disposant de filiales en Italie pourraient exploiter pour faire tourner leurs diplômés en STEM. Les candidats sous ce quota de stagiaires sont exemptés du click-day de février et peuvent déposer leur dossier toute l’année, une fois le plan de formation approuvé par les bureaux régionaux du travail.
Les équipes en charge de la mobilité doivent revoir les procédures RH de leurs clients afin de garantir que les preuves de conformité fiscale et d’hébergement soient téléchargées durant la période de pré-dépôt en novembre, afin d’éviter des rejets de dernière minute.
Le sénateur a affirmé que ces mesures favoriseront les entreprises légitimes ayant besoin de main-d’œuvre dans l’agriculture, le bâtiment et les soins, tout en éliminant les courtiers qui vendaient des soumissions par procuration à 1 500 € l’emplacement. Des experts du cabinet Mazzeschi notent que, pour la première fois, les employeurs risquent des amendes pouvant atteindre 50 000 € et une interdiction de trois ans de participer aux futurs quotas en cas d’utilisation de faux contrats.
Le décret réserve également 7 500 visas pour des stages professionnels liés aux programmes d’éducation en alternance italiens — une opportunité que les multinationales disposant de filiales en Italie pourraient exploiter pour faire tourner leurs diplômés en STEM. Les candidats sous ce quota de stagiaires sont exemptés du click-day de février et peuvent déposer leur dossier toute l’année, une fois le plan de formation approuvé par les bureaux régionaux du travail.
Les équipes en charge de la mobilité doivent revoir les procédures RH de leurs clients afin de garantir que les preuves de conformité fiscale et d’hébergement soient téléchargées durant la période de pré-dépôt en novembre, afin d’éviter des rejets de dernière minute.








