
Des responsables de la Border Security Force (BSF) ont déclaré à The Economic Times, dans les premières heures du 25 novembre, que le nombre de citoyens bangladais rapatriés via le poste de contrôle de Hakimpur dans le district de North 24 Parganas est passé d’une moyenne quotidienne à un chiffre unique à des chiffres à trois chiffres depuis le début, plus tôt ce mois-ci, d’une Révision Intensive Spéciale (SIR) des listes électorales.
Selon des sources de la BSF, environ 300 personnes par jour sont désormais traitées pour leur retour au Bangladesh après des contrôles biométriques et de casier judiciaire. Le gouverneur du Bengale occidental, C. V. Ananda Bose, s’est rendu lundi au poste frontière pour évaluer les installations, alors que des inquiétudes émergent quant aux opérations de la police locale visant à vérifier le statut de résidence, poussant les migrants sans papiers à partir volontairement.
Pourquoi cela importe pour la mobilité des entreprises : les employeurs – notamment dans la logistique, le textile et la construction informelle – qui dépendent d’une main-d’œuvre migrante à bas salaire dans l’est de l’Inde pourraient faire face à un resserrement soudain de l’offre de travail et à un contrôle accru des documents des employés. Les entreprises doivent auditer la conformité de leurs fournisseurs et s’assurer que les papiers d’identité de leur personnel sous contrat sont en règle.
Cette hausse exerce également une pression sur les effectifs de la BSF et pourrait ralentir les mouvements transfrontaliers légitimes de marchandises et de travailleurs saisonniers si les files d’attente s’allongent. L’Inde et le Bangladesh négocient des régimes de visa d’affaires simplifiés, mais l’augmentation des migrations irrégulières pourrait durcir les positions des deux côtés.
Les observateurs notent que des pics similaires de départs ont eu lieu lors des révisions des listes électorales en 2015 et 2019, mais se sont estompés en quelques semaines après la fin des campagnes de vérification des documents. L’évolution actuelle dépendra de la température politique à l’approche des élections d’État prévues l’année prochaine.
Selon des sources de la BSF, environ 300 personnes par jour sont désormais traitées pour leur retour au Bangladesh après des contrôles biométriques et de casier judiciaire. Le gouverneur du Bengale occidental, C. V. Ananda Bose, s’est rendu lundi au poste frontière pour évaluer les installations, alors que des inquiétudes émergent quant aux opérations de la police locale visant à vérifier le statut de résidence, poussant les migrants sans papiers à partir volontairement.
Pourquoi cela importe pour la mobilité des entreprises : les employeurs – notamment dans la logistique, le textile et la construction informelle – qui dépendent d’une main-d’œuvre migrante à bas salaire dans l’est de l’Inde pourraient faire face à un resserrement soudain de l’offre de travail et à un contrôle accru des documents des employés. Les entreprises doivent auditer la conformité de leurs fournisseurs et s’assurer que les papiers d’identité de leur personnel sous contrat sont en règle.
Cette hausse exerce également une pression sur les effectifs de la BSF et pourrait ralentir les mouvements transfrontaliers légitimes de marchandises et de travailleurs saisonniers si les files d’attente s’allongent. L’Inde et le Bangladesh négocient des régimes de visa d’affaires simplifiés, mais l’augmentation des migrations irrégulières pourrait durcir les positions des deux côtés.
Les observateurs notent que des pics similaires de départs ont eu lieu lors des révisions des listes électorales en 2015 et 2019, mais se sont estompés en quelques semaines après la fin des campagnes de vérification des documents. L’évolution actuelle dépendra de la température politique à l’approche des élections d’État prévues l’année prochaine.










