
Le nouveau ministre irlandais de la Justice et de la Migration, Jim O’Callaghan, a déclaré aux journalistes le 24 novembre que l’État « doit continuer à réduire le nombre de demandes de protection internationale », qui devrait atteindre environ 13 000 cette année. Il a laissé entendre qu’un ensemble de mesures législatives visant à durcir les règles d’asile et de migration sera présenté au Cabinet mercredi.
Les propos d’O’Callaghan interviennent quelques jours après l’annonce du Royaume-Uni de rendre le statut de réfugié temporaire et d’accélérer les expulsions des migrants arrivant illégalement. Le ministre a indiqué que Dublin surveille « de près » les répercussions, avertissant que des politiques britanniques plus strictes pourraient détourner les flux migratoires vers l’Irlande, nécessitant une réponse coordonnée entre les deux gouvernements.
Les propositions porteront sur un contrôle plus rapide aux frontières, des critères d’éligibilité plus stricts pour le regroupement familial, ainsi que des restrictions possibles sur les visas étudiants en anglais, qui représentent actuellement environ 60 000 autorisations par an. O’Callaghan était accompagné du commissaire européen à la Migration, Magnus Brunner, qui a salué l’Irlande comme un « leader » dans la mise en œuvre du Pacte européen sur la migration et l’asile, qui doit entrer en vigueur dans l’ensemble de l’UE en juin prochain.
Pour les employeurs, cette annonce laisse présager un durcissement probable de l’accès au marché du travail pour certains ressortissants hors UE, ainsi que des contrôles de conformité renforcés, notamment pour les entreprises employant des demandeurs d’asile autorisés à travailler. Les grandes multinationales sont invitées à revoir leurs processus de recrutement et à se préparer à des procédures plus rapides mais plus restrictives. Les équipes RH sont conseillées de suivre les décisions du Cabinet cette semaine et de dialoguer avec les prestataires de relocation concernant d’éventuels changements de délais et de quotas.
Enfin, le ton politique traduit une pression croissante sur la coalition pour concilier engagements humanitaires et contraintes en matière de logement et d’infrastructures. Toute réduction des taux d’acceptation ou allongement des délais de naturalisation pourrait nuire à l’attractivité de l’Irlande pour certains profils, alors même que le pays cherche à attirer des talents qualifiés dans les secteurs de la tech, de la pharmacie et de la finance.
Les propos d’O’Callaghan interviennent quelques jours après l’annonce du Royaume-Uni de rendre le statut de réfugié temporaire et d’accélérer les expulsions des migrants arrivant illégalement. Le ministre a indiqué que Dublin surveille « de près » les répercussions, avertissant que des politiques britanniques plus strictes pourraient détourner les flux migratoires vers l’Irlande, nécessitant une réponse coordonnée entre les deux gouvernements.
Les propositions porteront sur un contrôle plus rapide aux frontières, des critères d’éligibilité plus stricts pour le regroupement familial, ainsi que des restrictions possibles sur les visas étudiants en anglais, qui représentent actuellement environ 60 000 autorisations par an. O’Callaghan était accompagné du commissaire européen à la Migration, Magnus Brunner, qui a salué l’Irlande comme un « leader » dans la mise en œuvre du Pacte européen sur la migration et l’asile, qui doit entrer en vigueur dans l’ensemble de l’UE en juin prochain.
Pour les employeurs, cette annonce laisse présager un durcissement probable de l’accès au marché du travail pour certains ressortissants hors UE, ainsi que des contrôles de conformité renforcés, notamment pour les entreprises employant des demandeurs d’asile autorisés à travailler. Les grandes multinationales sont invitées à revoir leurs processus de recrutement et à se préparer à des procédures plus rapides mais plus restrictives. Les équipes RH sont conseillées de suivre les décisions du Cabinet cette semaine et de dialoguer avec les prestataires de relocation concernant d’éventuels changements de délais et de quotas.
Enfin, le ton politique traduit une pression croissante sur la coalition pour concilier engagements humanitaires et contraintes en matière de logement et d’infrastructures. Toute réduction des taux d’acceptation ou allongement des délais de naturalisation pourrait nuire à l’attractivité de l’Irlande pour certains profils, alors même que le pays cherche à attirer des talents qualifiés dans les secteurs de la tech, de la pharmacie et de la finance.










