
Le gouvernement allemand a approuvé les grandes lignes de conception d’une nouvelle Agence Travail-et-Séjour (ATS), un guichet numérique unique qui centralisera toutes les étapes du processus de migration professionnelle — des vérifications du marché du travail et délivrance des visas à l’enregistrement à la sécurité sociale et au conseil en relocalisation. Selon le communiqué officiel publié le 24 novembre 2025, les professionnels étrangers, stagiaires et demandeurs d’emploi pourront désormais télécharger une seule fois leurs contrats de travail, diplômes et justificatifs de logement ; toutes les autorités concernées accéderont ensuite aux dossiers via un système back-office partagé.
Berlin souligne que l’ATS éliminera les principaux obstacles dans l’architecture migratoire allemande : responsabilités éclatées et procédures locales basées sur le papier. Actuellement, les employeurs doivent souvent patienter des mois pendant que les employés étrangers naviguent entre consulats, bureaux d’immigration locaux et organismes de reconnaissance. En automatisant le partage des documents et la mise à jour des statuts, ce nouveau portail promet « plus d’efficacité, de prévisibilité et une réduction mesurable de la bureaucratie », selon le cabinet.
Contrairement aux projets pilotes précédents, l’agence intégrera l’Agence fédérale pour l’emploi, le tout nouveau Bureau fédéral des affaires étrangères et les organismes régionaux de reconnaissance dans un flux de travail numérique unique. Un guichet physique devrait ouvrir à l’aéroport de Francfort à la mi-2026, permettant aux voyageurs de résoudre d’éventuels problèmes de documents de dernière minute à leur arrivée avant de commencer leur activité professionnelle.
Les associations professionnelles, telles que la Fédération des industries allemandes (BDI), saluent cette initiative comme « une avancée majeure pour la mobilité des talents », rappelant que les retards dans l’obtention des permis sont l’une des principales raisons pour lesquelles les expatriés internationaux refusent des postes en Allemagne. Les prestataires de services de relocalisation anticipent également que cette plateforme partagée réduira le nombre de rendez-vous locaux et éliminera les multiples traductions de documents identiques.
Pour les responsables de la mobilité internationale, la conclusion est claire : dès la mise en service du portail ATS, les entreprises devront adapter leurs checklists internes, préparer le téléchargement des contrats au format PDF/A lisible par machine et prévoir un seul jeu de traductions certifiées. Les employeurs avec un grand nombre de transferts pourraient aussi intégrer directement l’interface de programmation applicative (API) de l’agence dans leurs systèmes RH pour suivre l’avancement des dossiers en temps réel.
Berlin souligne que l’ATS éliminera les principaux obstacles dans l’architecture migratoire allemande : responsabilités éclatées et procédures locales basées sur le papier. Actuellement, les employeurs doivent souvent patienter des mois pendant que les employés étrangers naviguent entre consulats, bureaux d’immigration locaux et organismes de reconnaissance. En automatisant le partage des documents et la mise à jour des statuts, ce nouveau portail promet « plus d’efficacité, de prévisibilité et une réduction mesurable de la bureaucratie », selon le cabinet.
Contrairement aux projets pilotes précédents, l’agence intégrera l’Agence fédérale pour l’emploi, le tout nouveau Bureau fédéral des affaires étrangères et les organismes régionaux de reconnaissance dans un flux de travail numérique unique. Un guichet physique devrait ouvrir à l’aéroport de Francfort à la mi-2026, permettant aux voyageurs de résoudre d’éventuels problèmes de documents de dernière minute à leur arrivée avant de commencer leur activité professionnelle.
Les associations professionnelles, telles que la Fédération des industries allemandes (BDI), saluent cette initiative comme « une avancée majeure pour la mobilité des talents », rappelant que les retards dans l’obtention des permis sont l’une des principales raisons pour lesquelles les expatriés internationaux refusent des postes en Allemagne. Les prestataires de services de relocalisation anticipent également que cette plateforme partagée réduira le nombre de rendez-vous locaux et éliminera les multiples traductions de documents identiques.
Pour les responsables de la mobilité internationale, la conclusion est claire : dès la mise en service du portail ATS, les entreprises devront adapter leurs checklists internes, préparer le téléchargement des contrats au format PDF/A lisible par machine et prévoir un seul jeu de traductions certifiées. Les employeurs avec un grand nombre de transferts pourraient aussi intégrer directement l’interface de programmation applicative (API) de l’agence dans leurs systèmes RH pour suivre l’avancement des dossiers en temps réel.







