
Dans une initiative bienvenue pour les voyages d’affaires et de loisirs de courte durée, le ministère de l’Intérieur a élargi, le 23 novembre, le dispositif de visa à l’arrivée (VoA) pour les citoyens des Émirats arabes unis. Jusqu’à présent, les voyageurs émiratis pouvaient obtenir un VoA dans six grands aéroports : Delhi, Mumbai, Bengaluru, Hyderabad, Chennai et Kolkata. Avec l’ajout de Kochi, Calicut et Ahmedabad, le réseau s’étend désormais à neuf aéroports, qui gèrent ensemble plus de 70 % du trafic passagers entre les Émirats et l’Inde.
Le VoA est réservé aux visiteurs ayant déjà détenu un e-Visa indien ou un visa papier. Une fois délivré, ce visa permet un séjour de 60 jours maximum et peut être utilisé deux fois durant cette période. Les autorités ont souligné qu’il n’y a pas de limite annuelle au nombre de VoA qu’un voyageur peut obtenir, un avantage notable pour les touristes médicaux et les commerçants de PME effectuant des déplacements fréquents et de dernière minute. Un tarif fixe de 2 000 ₹ s’applique, et le formulaire de demande peut être rempli à l’avance via l’application mobile Su-Swagatam, réduisant ainsi le temps d’attente à l’aéroport.
Du point de vue de la mobilité professionnelle, les principaux bénéficiaires seront les prestataires de soins de santé basés au Kerala, les exportateurs textiles du Gujarat, ainsi que le secteur en pleine expansion des réunions et incentives à Kochi. Les compagnies aériennes du Moyen-Orient, Emirates, Etihad, Air Arabia et flydubai, qui augmentent déjà leurs fréquences pour la saison hivernale, anticipent une demande accrue sur les liaisons vers ces villes secondaires. Les entreprises indiennes accueillant des investisseurs émiratis pourront désormais diriger leurs invités directement vers les pôles industriels autour de Kochi et Ahmedabad, sans passer par Delhi ou Mumbai.
Les responsables des voyages d’affaires doivent mettre à jour leurs briefings d’arrivée pour inclure les documents requis : un passeport valide six mois, une preuve de voyage de continuation ou de retour, une preuve de fonds suffisants, ainsi que le formulaire Annexure-A du VoA dûment rempli. Les entreprises doivent également prévoir les frais de visa dans le budget des déplacements et rappeler aux visiteurs novices qu’ils doivent d’abord obtenir un e-Visa avant de pouvoir utiliser le dispositif VoA à l’avenir.
Les analystes considèrent cette mesure comme une partie de la stratégie plus large de New Delhi visant à faciliter l’entrée des voyageurs à forte valeur ajoutée tout en maintenant un contrôle suffisant pour répondre aux enjeux de sécurité. Les Émirats arabes unis sont la deuxième source de touristes en provenance du Golfe vers l’Inde et l’un des trois principaux partenaires en investissement direct étranger, ce qui souligne la logique économique de cette libéralisation.
Le VoA est réservé aux visiteurs ayant déjà détenu un e-Visa indien ou un visa papier. Une fois délivré, ce visa permet un séjour de 60 jours maximum et peut être utilisé deux fois durant cette période. Les autorités ont souligné qu’il n’y a pas de limite annuelle au nombre de VoA qu’un voyageur peut obtenir, un avantage notable pour les touristes médicaux et les commerçants de PME effectuant des déplacements fréquents et de dernière minute. Un tarif fixe de 2 000 ₹ s’applique, et le formulaire de demande peut être rempli à l’avance via l’application mobile Su-Swagatam, réduisant ainsi le temps d’attente à l’aéroport.
Du point de vue de la mobilité professionnelle, les principaux bénéficiaires seront les prestataires de soins de santé basés au Kerala, les exportateurs textiles du Gujarat, ainsi que le secteur en pleine expansion des réunions et incentives à Kochi. Les compagnies aériennes du Moyen-Orient, Emirates, Etihad, Air Arabia et flydubai, qui augmentent déjà leurs fréquences pour la saison hivernale, anticipent une demande accrue sur les liaisons vers ces villes secondaires. Les entreprises indiennes accueillant des investisseurs émiratis pourront désormais diriger leurs invités directement vers les pôles industriels autour de Kochi et Ahmedabad, sans passer par Delhi ou Mumbai.
Les responsables des voyages d’affaires doivent mettre à jour leurs briefings d’arrivée pour inclure les documents requis : un passeport valide six mois, une preuve de voyage de continuation ou de retour, une preuve de fonds suffisants, ainsi que le formulaire Annexure-A du VoA dûment rempli. Les entreprises doivent également prévoir les frais de visa dans le budget des déplacements et rappeler aux visiteurs novices qu’ils doivent d’abord obtenir un e-Visa avant de pouvoir utiliser le dispositif VoA à l’avenir.
Les analystes considèrent cette mesure comme une partie de la stratégie plus large de New Delhi visant à faciliter l’entrée des voyageurs à forte valeur ajoutée tout en maintenant un contrôle suffisant pour répondre aux enjeux de sécurité. Les Émirats arabes unis sont la deuxième source de touristes en provenance du Golfe vers l’Inde et l’un des trois principaux partenaires en investissement direct étranger, ce qui souligne la logique économique de cette libéralisation.










