
Dans un décret parallèle adopté le 20 novembre et rapporté le 21 novembre par VisaHQ, le gouvernement italien a créé un permis de séjour spécial de six mois destiné aux victimes dénonçant les gangsters du caporalato dans les secteurs de l’agriculture, de la construction et de la logistique.
Les titulaires de ce nouveau statut bénéficient d’un accès complet au marché du travail, d’une couverture santé et d’une « allocation d’inclusion ». Ils peuvent également renouveler leur permis si les enquêtes judiciaires nécessitent leur témoignage. Ce permis est délivré en dehors du système habituel de quotas, ce qui signifie que les travailleurs exploités ne sont pas en concurrence avec les candidats des flux réguliers.
Les employeurs impliqués dans des cas de travail forcé s’exposent à des poursuites pénales et à une exclusion des futures allocations de permis de travail, renforçant ainsi les exigences de conformité pour les chaînes d’approvisionnement multinationales. Les équipes en charge de la mobilité et de la conformité doivent auditer les contrats d’externalisation et s’assurer que les agences de recrutement disposent des licences appropriées.
Cette mesure met l’Italie en conformité avec les directives européennes anti-traite et offre aux entreprises une opportunité de régulariser les travailleurs vulnérables tout en soutenant les enquêtes pénales.
Les titulaires de ce nouveau statut bénéficient d’un accès complet au marché du travail, d’une couverture santé et d’une « allocation d’inclusion ». Ils peuvent également renouveler leur permis si les enquêtes judiciaires nécessitent leur témoignage. Ce permis est délivré en dehors du système habituel de quotas, ce qui signifie que les travailleurs exploités ne sont pas en concurrence avec les candidats des flux réguliers.
Les employeurs impliqués dans des cas de travail forcé s’exposent à des poursuites pénales et à une exclusion des futures allocations de permis de travail, renforçant ainsi les exigences de conformité pour les chaînes d’approvisionnement multinationales. Les équipes en charge de la mobilité et de la conformité doivent auditer les contrats d’externalisation et s’assurer que les agences de recrutement disposent des licences appropriées.
Cette mesure met l’Italie en conformité avec les directives européennes anti-traite et offre aux entreprises une opportunité de régulariser les travailleurs vulnérables tout en soutenant les enquêtes pénales.







