
Tard dans la soirée du 21 novembre, la chambre basse italienne a approuvé la loi de conversion du décret-loi 146/2025, introduisant les réformes procédurales les plus importantes dans la gestion des visas de travail depuis 2002. Le projet de loi est désormais transmis au Sénat, qui doit le finaliser d’ici le 2 décembre.
Les principales modifications allongent deux délais cruciaux, passant de 7 à 15 jours : les employeurs disposent désormais de deux semaines après l’obtention du nulla osta pour confirmer une offre d’emploi, puis de 15 jours supplémentaires après l’arrivée du travailleur étranger pour signer le contrat obligatoire de séjour (contratto di soggiorno). Le texte impose également aux préfectures d’accepter les dépôts électroniques effectués par des avocats et consultants accrédités, et permet à l’Inspection du travail de pré-sélectionner les demandes, en filtrant les employeurs inscrits sur liste noire avant l’ouverture des quotas du « click-day ».
Pour les diplômés hautement qualifiés formés dans le cadre de programmes financés par l’Italie à l’étranger, le décret fixe un délai maximal de 30 jours pour délivrer le nulla osta et supprime l’obligation d’y joindre une déclaration d’intention de l’employeur. Par ailleurs, la loi prolonge jusqu’en 2028 un dispositif pilote accordant jusqu’à 10 000 permis hors quota par an pour les aides à domicile.
Pourquoi c’est important : ces délais prolongés réduisent le nombre de dossiers périmés pour des raisons techniques et offrent aux équipes RH un délai supplémentaire pour rassembler les documents, tandis que les contrôles anticipés de l’Inspection du travail pourraient augmenter les taux de refus pour les entreprises non conformes.
Les principales modifications allongent deux délais cruciaux, passant de 7 à 15 jours : les employeurs disposent désormais de deux semaines après l’obtention du nulla osta pour confirmer une offre d’emploi, puis de 15 jours supplémentaires après l’arrivée du travailleur étranger pour signer le contrat obligatoire de séjour (contratto di soggiorno). Le texte impose également aux préfectures d’accepter les dépôts électroniques effectués par des avocats et consultants accrédités, et permet à l’Inspection du travail de pré-sélectionner les demandes, en filtrant les employeurs inscrits sur liste noire avant l’ouverture des quotas du « click-day ».
Pour les diplômés hautement qualifiés formés dans le cadre de programmes financés par l’Italie à l’étranger, le décret fixe un délai maximal de 30 jours pour délivrer le nulla osta et supprime l’obligation d’y joindre une déclaration d’intention de l’employeur. Par ailleurs, la loi prolonge jusqu’en 2028 un dispositif pilote accordant jusqu’à 10 000 permis hors quota par an pour les aides à domicile.
Pourquoi c’est important : ces délais prolongés réduisent le nombre de dossiers périmés pour des raisons techniques et offrent aux équipes RH un délai supplémentaire pour rassembler les documents, tandis que les contrôles anticipés de l’Inspection du travail pourraient augmenter les taux de refus pour les entreprises non conformes.







