
L’ambassade de République tchèque au Caire a surpris les candidats à l’émigration vendredi 21 novembre 2025 en ouvrant, à la dernière minute, son système de réservation en ligne pour seulement six heures — de 10h00 à 16h00 heure d’Égypte — afin de déposer des demandes de visa de longue durée dans le cadre du programme d’emploi saisonnier tchèque.
Les visas de travail saisonnier permettent aux ressortissants hors UE de vivre et travailler en République tchèque jusqu’à neuf mois dans les secteurs de l’agriculture, de la transformation alimentaire, de l’hôtellerie et d’autres secteurs à forte demande. L’intérêt égyptien pour ce programme a explosé depuis les pénuries de main-d’œuvre post-pandémie qui ont poussé les employeurs tchèques à rechercher du personnel temporaire, mais la capacité consulaire reste très limitée. La micro-quota de vendredi autorisait au maximum cinq dossiers complets pour tout le mois de novembre, laissant ainsi de nombreux candidats préenregistrés repartir bredouilles.
Ces restrictions reflètent le resserrement plus large des canaux migratoires à Prague en 2025. En juillet, le gouvernement a supprimé la plupart des dépôts « sans rendez-vous » hors des Programmes ciblés de migration économique et a ordonné aux ambassades de répartir les quotas mensuels fixes de manière uniforme sur l’année. Les agents consulaires au Caire expliquent désormais privilégier les candidats dont les employeurs tchèques sont inscrits à des programmes de parrainage reconnus ; tous les autres doivent se battre pour une poignée de places en travail saisonnier.
Pour les entreprises tchèques, ce goulot d’étranglement représente un risque opérationnel réel : novembre et décembre sont des mois clés pour les flux de main-d’œuvre entre l’Égypte et la République tchèque, qui alimentent les marchés de Noël et les cuisines des stations de ski. Les multinationales ont commencé à délocaliser leur recrutement vers d’autres postes — comme Nairobi ou Pretoria — où les quotas sont plus élevés, mais cela engendre des coûts et des temps de déplacement supplémentaires. Les employeurs qui manquent cette fenêtre risquent de ne pas avoir une nouvelle opportunité avant janvier, repoussant ainsi leurs projets à 2026. Les responsables des déplacements conseillent donc aux unités opérationnelles de préparer leurs demandes de cartes de travail parrainées bien à l’avance ou d’envisager des affectations intra-UE pour les postes critiques.
Les visas de travail saisonnier permettent aux ressortissants hors UE de vivre et travailler en République tchèque jusqu’à neuf mois dans les secteurs de l’agriculture, de la transformation alimentaire, de l’hôtellerie et d’autres secteurs à forte demande. L’intérêt égyptien pour ce programme a explosé depuis les pénuries de main-d’œuvre post-pandémie qui ont poussé les employeurs tchèques à rechercher du personnel temporaire, mais la capacité consulaire reste très limitée. La micro-quota de vendredi autorisait au maximum cinq dossiers complets pour tout le mois de novembre, laissant ainsi de nombreux candidats préenregistrés repartir bredouilles.
Ces restrictions reflètent le resserrement plus large des canaux migratoires à Prague en 2025. En juillet, le gouvernement a supprimé la plupart des dépôts « sans rendez-vous » hors des Programmes ciblés de migration économique et a ordonné aux ambassades de répartir les quotas mensuels fixes de manière uniforme sur l’année. Les agents consulaires au Caire expliquent désormais privilégier les candidats dont les employeurs tchèques sont inscrits à des programmes de parrainage reconnus ; tous les autres doivent se battre pour une poignée de places en travail saisonnier.
Pour les entreprises tchèques, ce goulot d’étranglement représente un risque opérationnel réel : novembre et décembre sont des mois clés pour les flux de main-d’œuvre entre l’Égypte et la République tchèque, qui alimentent les marchés de Noël et les cuisines des stations de ski. Les multinationales ont commencé à délocaliser leur recrutement vers d’autres postes — comme Nairobi ou Pretoria — où les quotas sont plus élevés, mais cela engendre des coûts et des temps de déplacement supplémentaires. Les employeurs qui manquent cette fenêtre risquent de ne pas avoir une nouvelle opportunité avant janvier, repoussant ainsi leurs projets à 2026. Les responsables des déplacements conseillent donc aux unités opérationnelles de préparer leurs demandes de cartes de travail parrainées bien à l’avance ou d’envisager des affectations intra-UE pour les postes critiques.









