
Lorsque la loi phare de la Pologne sur les conditions d’admissibilité à l’emploi des étrangers est entrée en vigueur le 1er juin 2025, les législateurs ont accordé au gouvernement six mois pour publier les règlements d’application destinés à concrétiser cette loi au quotidien. À moins de deux semaines de l’échéance du 2 décembre, la plupart de ces règlements sont toujours absents.
Si ces actes secondaires ne sont pas publiés et en vigueur d’ici le 1er décembre, les règles actuelles — établies sous l’ancienne loi sur la promotion de l’emploi et les institutions du marché du travail — expireront automatiquement, créant un vide juridique. Les employeurs se retrouveront sans directives procédurales claires sur les documents à fournir, les activités éligibles aux permis saisonniers, ni même sur les frais à acquitter.
Les avocats spécialisés en immigration alertent que les bureaux provinciaux du travail pourraient suspendre la réception et le traitement des demandes en attendant les nouvelles directives, mettant en péril les calendriers d’intégration et de renouvellement pour des milliers de spécialistes étrangers. Les projets de règlements consultés par les organisations professionnelles prévoient des dépôts exclusivement numériques, de nouvelles catégories d’exemptions pour les missions de courte durée et une liste élargie de secteurs saisonniers, mais leur version finale reste à publier.
Les entreprises sont donc invitées à accélérer les démarches encore possibles dans le cadre actuel, à préparer des modèles alternatifs d’affectation (par exemple, le statut de visiteur d’affaires ou les contrats de prestation) et à suivre quotidiennement le bulletin du ministère de la Famille et de la Politique sociale. Une fois les nouveaux décrets publiés, elles devront s’attendre à des formulaires électroniques actualisés, des frais plus élevés et potentiellement de nouveaux consentements liés à la protection des données via la plateforme MOS.
Si les autorités assurent que ce délai sera de « quelques heures, pas de jours », les équipes RH gérant d’importants effectifs étrangers se préparent à des interruptions dans le traitement des dossiers pendant la transition. Cet épisode souligne l’importance de la flexibilité des programmes et la nécessité d’une veille législative en temps réel dans un paysage de mobilité en pleine évolution en Pologne.
Si ces actes secondaires ne sont pas publiés et en vigueur d’ici le 1er décembre, les règles actuelles — établies sous l’ancienne loi sur la promotion de l’emploi et les institutions du marché du travail — expireront automatiquement, créant un vide juridique. Les employeurs se retrouveront sans directives procédurales claires sur les documents à fournir, les activités éligibles aux permis saisonniers, ni même sur les frais à acquitter.
Les avocats spécialisés en immigration alertent que les bureaux provinciaux du travail pourraient suspendre la réception et le traitement des demandes en attendant les nouvelles directives, mettant en péril les calendriers d’intégration et de renouvellement pour des milliers de spécialistes étrangers. Les projets de règlements consultés par les organisations professionnelles prévoient des dépôts exclusivement numériques, de nouvelles catégories d’exemptions pour les missions de courte durée et une liste élargie de secteurs saisonniers, mais leur version finale reste à publier.
Les entreprises sont donc invitées à accélérer les démarches encore possibles dans le cadre actuel, à préparer des modèles alternatifs d’affectation (par exemple, le statut de visiteur d’affaires ou les contrats de prestation) et à suivre quotidiennement le bulletin du ministère de la Famille et de la Politique sociale. Une fois les nouveaux décrets publiés, elles devront s’attendre à des formulaires électroniques actualisés, des frais plus élevés et potentiellement de nouveaux consentements liés à la protection des données via la plateforme MOS.
Si les autorités assurent que ce délai sera de « quelques heures, pas de jours », les équipes RH gérant d’importants effectifs étrangers se préparent à des interruptions dans le traitement des dossiers pendant la transition. Cet épisode souligne l’importance de la flexibilité des programmes et la nécessité d’une veille législative en temps réel dans un paysage de mobilité en pleine évolution en Pologne.









