
Le ministère brésilien des Affaires étrangères a diffusé un dernier rappel très visible aux compagnies aériennes, agences de gestion de voyages et partenaires du contrôle aux frontières : le visa électronique (e-Visa) deviendra obligatoire à partir du 10 avril 2025 pour les détenteurs de passeports américains, canadiens et australiens.
Le communiqué, republié le 21 novembre, confirme que les demandes doivent être déposées exclusivement via le portail web VFSeVisa et que le tarif reste fixé à 80,90 USD. Les voyageurs approuvés recevront un visa à entrées multiples valable 10 ans — ou 5 ans pour les Canadiens et Australiens — avec un séjour maximal de 90 jours par entrée, limité à 180 jours sur une période de 12 mois. Les délais de traitement sont actuellement de 48 à 72 heures, mais le ministère des Affaires étrangères prévient d’un pic attendu en mars, lorsque les vacanciers et voyageurs d’affaires nord-américains prendront conscience de la fin de l’entrée sans visa.
Les compagnies aériennes ont été informées qu’elles seront sanctionnées et devront refuser l’embarquement aux passagers ne présentant pas un code d’approbation imprimé ou numérique lors de l’enregistrement. Les équipes de mobilité d’entreprise vérifient donc les rotations d’équipage, les plans de déplacement et les bases de données RH pour s’assurer que les ressortissants concernés déposent leur demande à temps. Les entreprises organisant des réunions de conseil en avril au Brésil ont commencé à réserver en masse des services de gestion de visas et rappellent aux délégués de télécharger des photos de passeport conformes aux exigences strictes de résolution de la plateforme.
Le Brésil souligne que cette mesure rétablit une « stricte réciprocité » : les Brésiliens doivent toujours obtenir un visa pour ces trois pays. Les diplomates présentent également le déploiement de l’e-Visa comme un projet pilote pour un écosystème numérique plus large, qui pourrait à terme inclure d’autres nationalités et même une option de visa à l’arrivée, actuellement testée dans les aéroports de São Paulo-Guarulhos et Rio Galeão.
Les voyageurs en provenance de régions exemptées de visa — la plupart des pays de l’UE, du Royaume-Uni, du Japon et du Mexique — ne sont pas concernés, mais doivent s’attendre à des contrôles documentaires plus longs, le temps que la Police fédérale synchronise les bases de données aéroportuaires avec le nouveau système e-Visa. Les responsables mobilité doivent mettre à jour leurs checklists pré-départ, prévoir le nouveau tarif et avertir les employés que les agents d’immigration brésiliens ne toléreront plus les « je ne savais pas » après le 10 avril.
Le communiqué, republié le 21 novembre, confirme que les demandes doivent être déposées exclusivement via le portail web VFSeVisa et que le tarif reste fixé à 80,90 USD. Les voyageurs approuvés recevront un visa à entrées multiples valable 10 ans — ou 5 ans pour les Canadiens et Australiens — avec un séjour maximal de 90 jours par entrée, limité à 180 jours sur une période de 12 mois. Les délais de traitement sont actuellement de 48 à 72 heures, mais le ministère des Affaires étrangères prévient d’un pic attendu en mars, lorsque les vacanciers et voyageurs d’affaires nord-américains prendront conscience de la fin de l’entrée sans visa.
Les compagnies aériennes ont été informées qu’elles seront sanctionnées et devront refuser l’embarquement aux passagers ne présentant pas un code d’approbation imprimé ou numérique lors de l’enregistrement. Les équipes de mobilité d’entreprise vérifient donc les rotations d’équipage, les plans de déplacement et les bases de données RH pour s’assurer que les ressortissants concernés déposent leur demande à temps. Les entreprises organisant des réunions de conseil en avril au Brésil ont commencé à réserver en masse des services de gestion de visas et rappellent aux délégués de télécharger des photos de passeport conformes aux exigences strictes de résolution de la plateforme.
Le Brésil souligne que cette mesure rétablit une « stricte réciprocité » : les Brésiliens doivent toujours obtenir un visa pour ces trois pays. Les diplomates présentent également le déploiement de l’e-Visa comme un projet pilote pour un écosystème numérique plus large, qui pourrait à terme inclure d’autres nationalités et même une option de visa à l’arrivée, actuellement testée dans les aéroports de São Paulo-Guarulhos et Rio Galeão.
Les voyageurs en provenance de régions exemptées de visa — la plupart des pays de l’UE, du Royaume-Uni, du Japon et du Mexique — ne sont pas concernés, mais doivent s’attendre à des contrôles documentaires plus longs, le temps que la Police fédérale synchronise les bases de données aéroportuaires avec le nouveau système e-Visa. Les responsables mobilité doivent mettre à jour leurs checklists pré-départ, prévoir le nouveau tarif et avertir les employés que les agents d’immigration brésiliens ne toléreront plus les « je ne savais pas » après le 10 avril.









