
Une circulaire publiée le même jour par les ministères de l’Intérieur, du Travail et des Transports simplifie les démarches pour les entreprises logistiques italiennes recrutant des conducteurs de poids lourds et d’autobus non-UE dans le cadre des nouvelles quotas Flussi. Si les candidats doivent toujours détenir un permis poids lourd reconnu par un accord bilatéral de conversion, ils ne seront plus tenus d’avoir le Certificat de Compétence Professionnelle (CQC) italien avant leur arrivée. À la place, les employeurs devront s’engager à organiser la formation CQC dans les six mois suivant l’entrée du conducteur.
Cette modification supprime un obstacle majeur qui décourageait les transporteurs d’utiliser les quotas Flussi : obtenir le CQC à l’étranger était quasiment impossible, et la formation en Italie peut coûter plus de 2 000 €. En décalant la certification à la phase post-arrivée, le gouvernement vise à accélérer l’attribution des 7 000 places de conducteurs prévues pour 2026 et à atténuer la pénurie aiguë qui a fait grimper les tarifs du fret de 14 % cette année.
La pré-saisie des demandes de permis de travail sur le portail du ministère de l’Intérieur a été ouverte le 1er novembre. Des journées de clic sont programmées les 5, 7 et 12 février 2026, segmentées par secteur et taille d’entreprise. Les employeurs doivent télécharger la preuve du permis étranger du conducteur, une déclaration d’équivalence délivrée par le consulat italien, ainsi qu’une lettre d’engagement pour la formation. Le non-enrôlement du conducteur dans une formation CQC reconnue dans le délai imparti entraînera l’annulation du permis de travail et interdira à l’entreprise de bénéficier des quotas pendant deux ans.
Pour les responsables mobilité des chaînes d’approvisionnement multinationales, cette réforme permet de réduire les délais de recrutement de plusieurs mois, mais une gestion rigoureuse des documents et un partenariat avec des écoles de conduite agréées seront indispensables pour rester en conformité.
Cette modification supprime un obstacle majeur qui décourageait les transporteurs d’utiliser les quotas Flussi : obtenir le CQC à l’étranger était quasiment impossible, et la formation en Italie peut coûter plus de 2 000 €. En décalant la certification à la phase post-arrivée, le gouvernement vise à accélérer l’attribution des 7 000 places de conducteurs prévues pour 2026 et à atténuer la pénurie aiguë qui a fait grimper les tarifs du fret de 14 % cette année.
La pré-saisie des demandes de permis de travail sur le portail du ministère de l’Intérieur a été ouverte le 1er novembre. Des journées de clic sont programmées les 5, 7 et 12 février 2026, segmentées par secteur et taille d’entreprise. Les employeurs doivent télécharger la preuve du permis étranger du conducteur, une déclaration d’équivalence délivrée par le consulat italien, ainsi qu’une lettre d’engagement pour la formation. Le non-enrôlement du conducteur dans une formation CQC reconnue dans le délai imparti entraînera l’annulation du permis de travail et interdira à l’entreprise de bénéficier des quotas pendant deux ans.
Pour les responsables mobilité des chaînes d’approvisionnement multinationales, cette réforme permet de réduire les délais de recrutement de plusieurs mois, mais une gestion rigoureuse des documents et un partenariat avec des écoles de conduite agréées seront indispensables pour rester en conformité.








