
Le Nationalrat (chambre basse du parlement) s’est réuni ce matin (20 novembre) avec un ordre du jour chargé en matière de transports, qui impactera tous les voyageurs d’affaires entrant ou transitant par l’Autriche. En tête des débats figure la législation visant à intégrer le nouveau Système européen d’information et d’autorisation de voyage (ETIAS) de l’UE dans le droit national. Une fois adoptée, l’Autriche créera une unité ETIAS dédiée au sein du ministère de l’Intérieur, reliée aux bases de données existantes telles que SIS, EURODAC et le système Entrée/Sortie.
Pour les voyageurs dispensés de visa — allant des cadres américains aux touristes singapouriens amateurs de ski — cela signifiera qu’à partir de mi-2026, une autorisation de voyage en ligne sera obligatoire avant d’embarquer pour un vol, un train ou un autocar à destination de l’Autriche. Les entreprises ayant un fort volume de collaborateurs en mission courte sont invitées à auditer dès maintenant leurs systèmes RH afin de pouvoir intégrer automatiquement les données de passeport dans les outils de réservation de voyage dès la mise en service d’ETIAS.
Le même projet de loi supprime également le dernier autocollant papier autoroutier autrichien (« Autobahnpickerl ») à partir de décembre 2026, pour passer entièrement à la reconnaissance des plaques d’immatriculation. Cette transition numérique devrait réduire les files d’attente aux frontières du Brenner et sur les autoroutes de l’Est lors des pics de vacances, tout en simplifiant la gestion pour les sociétés de leasing qui font circuler leurs flottes dans la région DACH. Les transporteurs routiers verront une légère augmentation parallèle de la LKW-Maut, bien que les poids lourds zéro émission bénéficient d’une remise de 75 % jusqu’en 2030.
Parmi les autres mesures de mobilité à l’étude figurent une plateforme numérique pour les permis internationaux de fret CEMT et des amendements précisant quels axes ferroviaires sont considérés comme « grande vitesse » selon la loi Hochleistungsstreckengesetz — un point crucial pour la ligne Koralm à 250 km/h des ÖBB, dont l’ouverture est prévue en décembre 2025. Un vote final est attendu tard ce soir ; après l’approbation interpartis en commission, l’adoption semble assurée. Les employeurs sont invités à suivre la publication au journal officiel pour le calendrier de mise en œuvre et à mettre à jour en conséquence les manuels conducteurs et les check-lists des travailleurs détachés.
Pour les voyageurs dispensés de visa — allant des cadres américains aux touristes singapouriens amateurs de ski — cela signifiera qu’à partir de mi-2026, une autorisation de voyage en ligne sera obligatoire avant d’embarquer pour un vol, un train ou un autocar à destination de l’Autriche. Les entreprises ayant un fort volume de collaborateurs en mission courte sont invitées à auditer dès maintenant leurs systèmes RH afin de pouvoir intégrer automatiquement les données de passeport dans les outils de réservation de voyage dès la mise en service d’ETIAS.
Le même projet de loi supprime également le dernier autocollant papier autoroutier autrichien (« Autobahnpickerl ») à partir de décembre 2026, pour passer entièrement à la reconnaissance des plaques d’immatriculation. Cette transition numérique devrait réduire les files d’attente aux frontières du Brenner et sur les autoroutes de l’Est lors des pics de vacances, tout en simplifiant la gestion pour les sociétés de leasing qui font circuler leurs flottes dans la région DACH. Les transporteurs routiers verront une légère augmentation parallèle de la LKW-Maut, bien que les poids lourds zéro émission bénéficient d’une remise de 75 % jusqu’en 2030.
Parmi les autres mesures de mobilité à l’étude figurent une plateforme numérique pour les permis internationaux de fret CEMT et des amendements précisant quels axes ferroviaires sont considérés comme « grande vitesse » selon la loi Hochleistungsstreckengesetz — un point crucial pour la ligne Koralm à 250 km/h des ÖBB, dont l’ouverture est prévue en décembre 2025. Un vote final est attendu tard ce soir ; après l’approbation interpartis en commission, l’adoption semble assurée. Les employeurs sont invités à suivre la publication au journal officiel pour le calendrier de mise en œuvre et à mettre à jour en conséquence les manuels conducteurs et les check-lists des travailleurs détachés.










