
Dans un guide complet publié le 20 novembre, The Economic Times a détaillé l’éventail croissant des visas de visite « non parrainés » aux Émirats arabes unis — des permis ne nécessitant pas de garant local. Voici les options désormais disponibles :
• Un visa touristique à entrées multiples valable cinq ans (séjour jusqu’à 180 jours par an) ;
• Un visa de recherche d’emploi de 60, 90 ou 120 jours pour professionnels qualifiés et jeunes diplômés ;
• Un visa d’exploration commerciale de deux à quatre mois pour entrepreneurs ;
• Un e-visa pour résidents du CCG et un régime élargi de visa à l’arrivée pour les Indiens éligibles.
Pourquoi c’est important : Ces visas soutiennent l’objectif des Émirats d’attirer 40 millions de visiteurs et de tripler le nombre d’expatriés qualifiés d’ici 2031. Pour les employeurs internationaux, ils simplifient les démarches lors de l’envoi de collaborateurs pour des tests de marché prolongés ou plusieurs missions, sans les coûts complets liés au parrainage de résidence.
Aspects pratiques : Les responsables mobilité doivent prendre en compte les seuils financiers — par exemple, un solde bancaire de 4 000 USD sur six mois pour le visa touristique cinq ans — ainsi que les exigences en matière d’assurance. Le visa de recherche d’emploi est lié aux niveaux de compétence 1 à 3 du MOHRE, ce qui en fait une solution temporaire viable pour les talents en période d’essai avant l’obtention d’un visa de travail complet.
Conseils de conformité : Les demandeurs doivent quitter le pays avant de réutiliser un nouveau segment du visa touristique à entrées multiples pour éviter les dépassements de séjour, sanctionnés par une amende de 50 AED par jour. Pour les ressortissants indiens, la possession d’un visa valide pour les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’espace Schengen (copie physique) facilite l’accès au visa à l’arrivée.
Perspective stratégique : Le modèle sans parrainage confère aux Émirats un avantage concurrentiel face à des hubs rivaux comme Singapour et l’Arabie saoudite, notamment pour les télétravailleurs et les start-ups testant le marché du Golfe. Les entreprises préparant leurs budgets de missions pour 2026 devraient réévaluer si les visas de visite à court terme peuvent remplacer les coûteux permis de travail temporaires pour certains postes.
• Un visa touristique à entrées multiples valable cinq ans (séjour jusqu’à 180 jours par an) ;
• Un visa de recherche d’emploi de 60, 90 ou 120 jours pour professionnels qualifiés et jeunes diplômés ;
• Un visa d’exploration commerciale de deux à quatre mois pour entrepreneurs ;
• Un e-visa pour résidents du CCG et un régime élargi de visa à l’arrivée pour les Indiens éligibles.
Pourquoi c’est important : Ces visas soutiennent l’objectif des Émirats d’attirer 40 millions de visiteurs et de tripler le nombre d’expatriés qualifiés d’ici 2031. Pour les employeurs internationaux, ils simplifient les démarches lors de l’envoi de collaborateurs pour des tests de marché prolongés ou plusieurs missions, sans les coûts complets liés au parrainage de résidence.
Aspects pratiques : Les responsables mobilité doivent prendre en compte les seuils financiers — par exemple, un solde bancaire de 4 000 USD sur six mois pour le visa touristique cinq ans — ainsi que les exigences en matière d’assurance. Le visa de recherche d’emploi est lié aux niveaux de compétence 1 à 3 du MOHRE, ce qui en fait une solution temporaire viable pour les talents en période d’essai avant l’obtention d’un visa de travail complet.
Conseils de conformité : Les demandeurs doivent quitter le pays avant de réutiliser un nouveau segment du visa touristique à entrées multiples pour éviter les dépassements de séjour, sanctionnés par une amende de 50 AED par jour. Pour les ressortissants indiens, la possession d’un visa valide pour les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’espace Schengen (copie physique) facilite l’accès au visa à l’arrivée.
Perspective stratégique : Le modèle sans parrainage confère aux Émirats un avantage concurrentiel face à des hubs rivaux comme Singapour et l’Arabie saoudite, notamment pour les télétravailleurs et les start-ups testant le marché du Golfe. Les entreprises préparant leurs budgets de missions pour 2026 devraient réévaluer si les visas de visite à court terme peuvent remplacer les coûteux permis de travail temporaires pour certains postes.










