
Le 18 novembre, le Département de l’Immigration de Hong Kong (ImmD) a organisé un séminaire dédié à plus de 180 aides domestiques étrangères indonésiennes récemment arrivées en ville. Accueillie au Consulat général d’Indonésie, cette session s’inscrit dans un programme de sensibilisation de l’ImmD visant à prévenir les dépassements de visa, le travail illégal et les abus liés à la traite des êtres humains.
Messages clés : Les agents chargés de l’application des lois ont expliqué aux participantes les termes du Contrat de travail standard, insistant sur le fait que les aides ne peuvent effectuer des tâches domestiques que pour l’employeur inscrit sur leur visa de travail. Des études de cas ont illustré les risques juridiques liés à l’exercice d’activités annexes — comme le ménage à temps partiel ou la garde d’enfants — pouvant entraîner l’annulation immédiate du visa et jusqu’à deux ans de prison.
Pourquoi c’est important : Hong Kong compte environ 340 000 aides domestiques étrangères, dont 55 % sont de nationalité indonésienne. Les infractions aux conditions de séjour débordent souvent sur des problèmes de conformité plus larges pour les familles expatriées et les cadres supérieurs employant ces aides comme gardiennes résidentes. En clarifiant les règles dès le départ, l’ImmD espère réduire le nombre de cas nécessitant des entretiens avec les employeurs, des comparutions en justice et, in fine, des perturbations dans la stabilité des foyers.
Conseils pratiques pour les employeurs :
• Les équipes RH en charge des relocalisations de cadres devraient intégrer les brochures multilingues de l’ImmD dans leurs kits d’accueil.
• Les familles doivent conserver des copies des passeports et cartes d’identité hongkongaises des aides, car les contrôles aléatoires par les services d’immigration ou les inspecteurs du travail se sont intensifiés dans les parcs et centres communautaires fréquentés.
• Les agences de placement doivent rappeler aux candidates de participer à la clinique de suivi optionnelle sur la sensibilisation à la traite des personnes, prévue le 3 décembre.
Contexte plus large : Ce séminaire illustre un virage gouvernemental vers l’éducation plutôt que la seule répression. Des sessions similaires sont prévues pour les aides philippines, thaïlandaises et sri-lankaises au premier trimestre 2026, en parallèle du lancement d’un nouveau système de prise de rendez-vous électronique pour le renouvellement des visas.
Messages clés : Les agents chargés de l’application des lois ont expliqué aux participantes les termes du Contrat de travail standard, insistant sur le fait que les aides ne peuvent effectuer des tâches domestiques que pour l’employeur inscrit sur leur visa de travail. Des études de cas ont illustré les risques juridiques liés à l’exercice d’activités annexes — comme le ménage à temps partiel ou la garde d’enfants — pouvant entraîner l’annulation immédiate du visa et jusqu’à deux ans de prison.
Pourquoi c’est important : Hong Kong compte environ 340 000 aides domestiques étrangères, dont 55 % sont de nationalité indonésienne. Les infractions aux conditions de séjour débordent souvent sur des problèmes de conformité plus larges pour les familles expatriées et les cadres supérieurs employant ces aides comme gardiennes résidentes. En clarifiant les règles dès le départ, l’ImmD espère réduire le nombre de cas nécessitant des entretiens avec les employeurs, des comparutions en justice et, in fine, des perturbations dans la stabilité des foyers.
Conseils pratiques pour les employeurs :
• Les équipes RH en charge des relocalisations de cadres devraient intégrer les brochures multilingues de l’ImmD dans leurs kits d’accueil.
• Les familles doivent conserver des copies des passeports et cartes d’identité hongkongaises des aides, car les contrôles aléatoires par les services d’immigration ou les inspecteurs du travail se sont intensifiés dans les parcs et centres communautaires fréquentés.
• Les agences de placement doivent rappeler aux candidates de participer à la clinique de suivi optionnelle sur la sensibilisation à la traite des personnes, prévue le 3 décembre.
Contexte plus large : Ce séminaire illustre un virage gouvernemental vers l’éducation plutôt que la seule répression. Des sessions similaires sont prévues pour les aides philippines, thaïlandaises et sri-lankaises au premier trimestre 2026, en parallèle du lancement d’un nouveau système de prise de rendez-vous électronique pour le renouvellement des visas.











