
À la suite des deux tentatives de sabotage sur la ligne ferroviaire Varsovie-Lublin, les ministres polonais de l’Intérieur, des Services de sécurité, de la Justice et des Infrastructures ont tenu une conférence de presse d’urgence le 17 novembre pour présenter une réponse coordonnée visant à rassurer les voyageurs et les opérateurs logistiques.
Le ministre de l’Intérieur, Marcin Kierwiński, a confirmé que des unités de police spécialisées en déminage et contre-terrorisme seront déployées à 150 points stratégiques, tandis que la Garde de sécurité ferroviaire (SOK) utilisera des scanners portables pour inspecter les soudures des rails sur les corridors de fret nocturnes. L’Agence de sécurité intérieure (ABW) a constitué une cellule de 40 experts, incluant procureurs et spécialistes en cybercriminalité, chargée de retracer les traces numériques liées aux attaques.
Le ministre des Infrastructures, Dariusz Klimczak, a indiqué que PKP PLK terminera les réparations des deux voies touchées d’ici minuit le 18 novembre, mais que des limitations temporaires de vitesse à 60 km/h et des contrôles aléatoires resteront en vigueur jusqu’à ce que des tests ultrasoniques confirment l’intégrité des rails. Les opérateurs transportant des marchandises dangereuses ou des cargaisons hors gabarit doivent désormais soumettre leurs plans de déplacement 24 heures à l’avance et présenter des pièces d’identité des conducteurs vérifiées, une exigence habituellement réservée aux convois de l’OTAN.
Le commandant de la Garde des frontières, le général de brigade Sławomir Klekotka, a annoncé des mesures similaires aux points de passage terrestres à l’est, incluant des scanners à distance pour inspecter le dessous des véhicules et des patrouilles conjointes avec des ingénieurs militaires spécialisés dans la neutralisation d’engins improvisés. Il a recommandé aux transporteurs d’intégrer une marge supplémentaire de 90 minutes dans leurs plannings de livraison.
Les responsables de la mobilité en entreprise sont invités à diffuser la nouvelle circulaire de conformité auprès des collaborateurs en déplacement et à envisager l’enregistrement des données biométriques des voyageurs fréquents dans le cadre du programme national Trusted Traveller, qui leur permettra d’emprunter des voies dédiées lors des contrôles de sécurité aléatoires.
Le ministre de l’Intérieur, Marcin Kierwiński, a confirmé que des unités de police spécialisées en déminage et contre-terrorisme seront déployées à 150 points stratégiques, tandis que la Garde de sécurité ferroviaire (SOK) utilisera des scanners portables pour inspecter les soudures des rails sur les corridors de fret nocturnes. L’Agence de sécurité intérieure (ABW) a constitué une cellule de 40 experts, incluant procureurs et spécialistes en cybercriminalité, chargée de retracer les traces numériques liées aux attaques.
Le ministre des Infrastructures, Dariusz Klimczak, a indiqué que PKP PLK terminera les réparations des deux voies touchées d’ici minuit le 18 novembre, mais que des limitations temporaires de vitesse à 60 km/h et des contrôles aléatoires resteront en vigueur jusqu’à ce que des tests ultrasoniques confirment l’intégrité des rails. Les opérateurs transportant des marchandises dangereuses ou des cargaisons hors gabarit doivent désormais soumettre leurs plans de déplacement 24 heures à l’avance et présenter des pièces d’identité des conducteurs vérifiées, une exigence habituellement réservée aux convois de l’OTAN.
Le commandant de la Garde des frontières, le général de brigade Sławomir Klekotka, a annoncé des mesures similaires aux points de passage terrestres à l’est, incluant des scanners à distance pour inspecter le dessous des véhicules et des patrouilles conjointes avec des ingénieurs militaires spécialisés dans la neutralisation d’engins improvisés. Il a recommandé aux transporteurs d’intégrer une marge supplémentaire de 90 minutes dans leurs plannings de livraison.
Les responsables de la mobilité en entreprise sont invités à diffuser la nouvelle circulaire de conformité auprès des collaborateurs en déplacement et à envisager l’enregistrement des données biométriques des voyageurs fréquents dans le cadre du programme national Trusted Traveller, qui leur permettra d’emprunter des voies dédiées lors des contrôles de sécurité aléatoires.






