
Le service mobilité de Virgilio Motori a publié, le 17 novembre, un calendrier des grèves assisté par intelligence artificielle, annonçant plusieurs mouvements de protestation dans les transports en Italie entre le 17 et le 30 novembre. Parmi les temps forts, on compte une grève nationale de huit heures dans le transport ferroviaire de marchandises (17 novembre), une grève locale des transports publics à Ancône (20 novembre) et une grève générale de 24 heures touchant l’aviation, le rail, les péages autoroutiers et les transports urbains le 28 novembre.
L’action du 28 novembre, soutenue par une large coalition de syndicats de base — dont CUB, USB et ADL-Cobas — coïncide avec une grève ferroviaire de 24 heures débutant à 21h00 le 27 novembre. Les compagnies aériennes n’ont pas encore publié d’horaires révisés, mais selon les règles de l’ENAC, les vols dans les créneaux protégés de 7h00 à 10h00 et de 18h00 à 21h00 doivent être maintenus. Les agences de gestion des déplacements conseillent aux employeurs d’autoriser des départs anticipés ou des alternatives en visioconférence pour les déplacements du personnel à ces dates.
Si Milan et Rome restent des points névralgiques habituels, le bulletin souligne que les grèves toucheront également les exploitants d’autoroutes et les transporteurs de marchandises, risquant de retarder les livraisons en flux tendu. Les entreprises gérant des envois sensibles au facteur temps — dans les secteurs pharmaceutique, de la mode et de la logistique alimentaire — sont invitées à prévoir des solutions de stockage de secours et à envisager un changement de mode de transport pour éviter des pénalités. Les responsables RH doivent rappeler aux expatriés leur droit au remboursement des frais supplémentaires d’hébergement et de réémission de billets, conformément à la réglementation italienne sur la sécurité au travail.
En regardant plus loin, les syndicats ont déjà déposé un préavis pour de nouvelles actions en décembre, à moins que les négociations sur les ajustements salariaux et la stabilité des plannings n’avancent. Les spécialistes de la mobilité recommandent donc d’ajouter une marge de sécurité d’au moins 24 heures aux itinéraires pour le reste du trimestre.
L’action du 28 novembre, soutenue par une large coalition de syndicats de base — dont CUB, USB et ADL-Cobas — coïncide avec une grève ferroviaire de 24 heures débutant à 21h00 le 27 novembre. Les compagnies aériennes n’ont pas encore publié d’horaires révisés, mais selon les règles de l’ENAC, les vols dans les créneaux protégés de 7h00 à 10h00 et de 18h00 à 21h00 doivent être maintenus. Les agences de gestion des déplacements conseillent aux employeurs d’autoriser des départs anticipés ou des alternatives en visioconférence pour les déplacements du personnel à ces dates.
Si Milan et Rome restent des points névralgiques habituels, le bulletin souligne que les grèves toucheront également les exploitants d’autoroutes et les transporteurs de marchandises, risquant de retarder les livraisons en flux tendu. Les entreprises gérant des envois sensibles au facteur temps — dans les secteurs pharmaceutique, de la mode et de la logistique alimentaire — sont invitées à prévoir des solutions de stockage de secours et à envisager un changement de mode de transport pour éviter des pénalités. Les responsables RH doivent rappeler aux expatriés leur droit au remboursement des frais supplémentaires d’hébergement et de réémission de billets, conformément à la réglementation italienne sur la sécurité au travail.
En regardant plus loin, les syndicats ont déjà déposé un préavis pour de nouvelles actions en décembre, à moins que les négociations sur les ajustements salariaux et la stabilité des plannings n’avancent. Les spécialistes de la mobilité recommandent donc d’ajouter une marge de sécurité d’au moins 24 heures aux itinéraires pour le reste du trimestre.









