
Toutes les missions diplomatiques tchèques — de La Haye à Oulan-Bator — sont restées fermées le lundi 17 novembre, à l’occasion de la Journée de la lutte pour la liberté et la démocratie. Le ministère des Affaires étrangères a confirmé qu’aucun service de visa, de légalisation ou notarial ne serait assuré ce jour-là, entraînant de fait une interruption des services sur quatre jours, en comptant le week-end précédent.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette pause représente un risque opérationnel réel. De nombreux consulats tchèques utilisent des portails de réservation automatisés qui calculent les délais d’appel et de retrait en jours calendaires, et non en jours ouvrés. Les demandeurs dont la limite de trente jours expirait le 17 novembre ont dû agir avant le vendredi 14, sous peine de devoir déposer des demandes coûteuses de prolongation. Les missions traitant des marchés à fort volume — comme Mumbai pour les visas Schengen et Le Caire pour les permis de travail saisonnier — signalent déjà des retards qui vont désormais se prolonger dans la semaine du 18 novembre.
Cette journée fériée a également eu des répercussions sur les chaînes d’approvisionnement. Les douanes de l’aéroport Václav Havel de Prague ont fonctionné en effectif réduit, retardant toute expédition nécessitant une inspection physique. Les transitaires ont conseillé aux exportateurs de déposer leurs manifestes électroniques à l’avance et, lorsque cela est possible, de réacheminer les produits périssables via Vienne ou Leipzig pour éviter toute détérioration.
Les équipes en charge des relations avec les employés ont été rappelées que l’effet domino dépasse les consulats. Les banques tchèques, la Bourse de Prague et de nombreuses cliniques privées ont fonctionné en horaires réduits, compliquant les transferts de paie et la délivrance d’attestations médicales souvent requises pour les conversions de permis de travail locaux. Les entreprises avec des dates d’intégration sensibles dans le temps ont été invitées à informer les voyageurs que les services de soutien ne reprendraient que le mardi 18 novembre.
Bien que la Journée de la lutte pour la liberté et la démocratie soit un jour férié annuel fixe, l’impact du long week-end varie d’une année à l’autre. Les consultants en mobilité recommandent d’intégrer les 17 novembre, 5 juillet et 28 octobre — les trois jours fériés les plus perturbateurs en République tchèque — dans les calendriers de projet pour 2026 afin d’éviter une nouvelle crise comme celle de cette semaine.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette pause représente un risque opérationnel réel. De nombreux consulats tchèques utilisent des portails de réservation automatisés qui calculent les délais d’appel et de retrait en jours calendaires, et non en jours ouvrés. Les demandeurs dont la limite de trente jours expirait le 17 novembre ont dû agir avant le vendredi 14, sous peine de devoir déposer des demandes coûteuses de prolongation. Les missions traitant des marchés à fort volume — comme Mumbai pour les visas Schengen et Le Caire pour les permis de travail saisonnier — signalent déjà des retards qui vont désormais se prolonger dans la semaine du 18 novembre.
Cette journée fériée a également eu des répercussions sur les chaînes d’approvisionnement. Les douanes de l’aéroport Václav Havel de Prague ont fonctionné en effectif réduit, retardant toute expédition nécessitant une inspection physique. Les transitaires ont conseillé aux exportateurs de déposer leurs manifestes électroniques à l’avance et, lorsque cela est possible, de réacheminer les produits périssables via Vienne ou Leipzig pour éviter toute détérioration.
Les équipes en charge des relations avec les employés ont été rappelées que l’effet domino dépasse les consulats. Les banques tchèques, la Bourse de Prague et de nombreuses cliniques privées ont fonctionné en horaires réduits, compliquant les transferts de paie et la délivrance d’attestations médicales souvent requises pour les conversions de permis de travail locaux. Les entreprises avec des dates d’intégration sensibles dans le temps ont été invitées à informer les voyageurs que les services de soutien ne reprendraient que le mardi 18 novembre.
Bien que la Journée de la lutte pour la liberté et la démocratie soit un jour férié annuel fixe, l’impact du long week-end varie d’une année à l’autre. Les consultants en mobilité recommandent d’intégrer les 17 novembre, 5 juillet et 28 octobre — les trois jours fériés les plus perturbateurs en République tchèque — dans les calendriers de projet pour 2026 afin d’éviter une nouvelle crise comme celle de cette semaine.








