
L’aéroport de Genève (GVA) organisera ce soir, 18 novembre 2025, après le couvre-feu sonore, son exercice de gestion de crise à grande échelle bisannuel. Le scénario simule la collision de deux avions sur l’aire de stationnement, mobilisant plus de 600 pompiers, secouristes, policiers et bénévoles de l’aéroport. La maquette de l’épave sera visible depuis les routes environnantes, et jusqu’à 80 véhicules d’urgence circuleront entre l’aéroport et les hôpitaux locaux.
Impact opérationnel : Bien qu’aucun vol passager ne soit programmé pendant l’exercice, les autorités préviennent que les automobilistes empruntant la Route de l’Aéroport et la Route de Meyrin pourraient subir des fermetures temporaires de voies entre 22h00 et 2h00. Les piétons et observateurs sont invités à rester à l’écart afin de ne pas gêner les premiers intervenants. Les transports publics, y compris le Léman Express et les bus TPG, fonctionneront normalement, mais les arrêts situés à proximité de la caserne des pompiers de l’aéroport seront contournés.
Pourquoi c’est important pour les programmes de mobilité : Les entreprises accueillant des collaborateurs internationaux arrivant tard ou organisant des enlèvements de marchandises doivent informer leurs chauffeurs des restrictions d’accès et prévoir des temps de trajet supplémentaires. Cet exercice teste également le plan de communication de crise multilingue révisé de l’aéroport, un point faible révélé lors de la panne informatique de l’an dernier affectant compagnies aériennes et prestataires au sol. Les enseignements serviront à actualiser les protocoles d’intervention d’urgence, essentiels pour la rapidité de réouverture de l’aéroport après un incident réel, un enjeu crucial pour les entreprises aux projets à délais serrés.
Contexte : La législation fédérale suisse impose aux aéroports de catégorie 7 d’organiser un exercice de simulation d’accident en conditions réelles tous les deux ans. Les retours de l’exercice 2023 ont conduit à la création de canaux radio communs entre la police cantonale et les secours français, illustrant la dimension transfrontalière de la région genevoise.
Conseils pratiques : Si des employés entendent des sirènes ou voient de la fumée près de l’aéroport ce soir, ils doivent considérer qu’il s’agit de l’exercice, sauf indication officielle contraire. Les équipes RH peuvent diffuser cette information pour prévenir les rumeurs auprès des collaborateurs en mobilité et de leurs familles.
Impact opérationnel : Bien qu’aucun vol passager ne soit programmé pendant l’exercice, les autorités préviennent que les automobilistes empruntant la Route de l’Aéroport et la Route de Meyrin pourraient subir des fermetures temporaires de voies entre 22h00 et 2h00. Les piétons et observateurs sont invités à rester à l’écart afin de ne pas gêner les premiers intervenants. Les transports publics, y compris le Léman Express et les bus TPG, fonctionneront normalement, mais les arrêts situés à proximité de la caserne des pompiers de l’aéroport seront contournés.
Pourquoi c’est important pour les programmes de mobilité : Les entreprises accueillant des collaborateurs internationaux arrivant tard ou organisant des enlèvements de marchandises doivent informer leurs chauffeurs des restrictions d’accès et prévoir des temps de trajet supplémentaires. Cet exercice teste également le plan de communication de crise multilingue révisé de l’aéroport, un point faible révélé lors de la panne informatique de l’an dernier affectant compagnies aériennes et prestataires au sol. Les enseignements serviront à actualiser les protocoles d’intervention d’urgence, essentiels pour la rapidité de réouverture de l’aéroport après un incident réel, un enjeu crucial pour les entreprises aux projets à délais serrés.
Contexte : La législation fédérale suisse impose aux aéroports de catégorie 7 d’organiser un exercice de simulation d’accident en conditions réelles tous les deux ans. Les retours de l’exercice 2023 ont conduit à la création de canaux radio communs entre la police cantonale et les secours français, illustrant la dimension transfrontalière de la région genevoise.
Conseils pratiques : Si des employés entendent des sirènes ou voient de la fumée près de l’aéroport ce soir, ils doivent considérer qu’il s’agit de l’exercice, sauf indication officielle contraire. Les équipes RH peuvent diffuser cette information pour prévenir les rumeurs auprès des collaborateurs en mobilité et de leurs familles.








