
Des chiffres préliminaires d’IRCC obtenus par Yahoo News révèlent que le Canada a délivré 18 % de permis d’études en moins entre janvier et octobre 2025 par rapport à la même période l’an dernier. L’Inde reste le principal pays d’origine, suivie de la Chine, du Nigeria, des Philippines et de la France.
Cette baisse fait suite à une décision prise en janvier de limiter à 437 000 le nombre de nouveaux permis d’études en 2025, soit une réduction de 10 %, en raison des inquiétudes liées à la pénurie de logements provoquée par un nombre d’inscriptions record. Les candidats doivent désormais obtenir une attestation provinciale confirmant leur place dans ce plafond fédéral. Cette politique impacte particulièrement les collèges privés et les petites universités qui dépendent fortement des frais de scolarité des étudiants étrangers.
Les représentants du secteur de l’éducation alertent sur une perte de revenus pouvant dépasser 1,5 milliard de dollars canadiens, menaçant la fermeture de programmes, notamment en Ontario rural et dans les provinces maritimes. À l’inverse, les associations de défense des locataires à Vancouver et Toronto observent une légère amélioration des taux de vacance locative près des grands campus.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces quotas plus stricts allongent les délais de planification. Les entreprises envoyant les personnes à charge de leurs employés étudier au Canada, ou utilisant la voie du permis d’études vers le permis de travail, doivent anticiper des taux de refus plus élevés et des retards possibles dans l’obtention des attestations provinciales.
Cette baisse fait suite à une décision prise en janvier de limiter à 437 000 le nombre de nouveaux permis d’études en 2025, soit une réduction de 10 %, en raison des inquiétudes liées à la pénurie de logements provoquée par un nombre d’inscriptions record. Les candidats doivent désormais obtenir une attestation provinciale confirmant leur place dans ce plafond fédéral. Cette politique impacte particulièrement les collèges privés et les petites universités qui dépendent fortement des frais de scolarité des étudiants étrangers.
Les représentants du secteur de l’éducation alertent sur une perte de revenus pouvant dépasser 1,5 milliard de dollars canadiens, menaçant la fermeture de programmes, notamment en Ontario rural et dans les provinces maritimes. À l’inverse, les associations de défense des locataires à Vancouver et Toronto observent une légère amélioration des taux de vacance locative près des grands campus.
Pour les responsables de la mobilité internationale, ces quotas plus stricts allongent les délais de planification. Les entreprises envoyant les personnes à charge de leurs employés étudier au Canada, ou utilisant la voie du permis d’études vers le permis de travail, doivent anticiper des taux de refus plus élevés et des retards possibles dans l’obtention des attestations provinciales.









