
La Garde-frontière finlandaise a confirmé avoir expulsé un Russe—identifié par les médias finlandais uniquement sous le prénom « Yevgeny », un ancien mercenaire du groupe Wagner—via le poste frontière de Niirala le 14 novembre, après le rejet de sa demande d’asile. L’homme avait traversé clandestinement la frontière forestière près de Kitee en juin et demandé une protection, affirmant avoir fui la Russie après avoir combattu en Ukraine. Le Service finlandais de l’immigration (Migri) a mené un examen accéléré de sa demande, concluant que son passé militaire et son identité incertaine représentaient des risques pour la sécurité incompatibles avec une protection au regard du droit finlandais ou européen.
Cette expulsion intervient alors qu’Helsinki applique une loi d’urgence vieille d’un an, permettant aux autorités de refouler sommairement les arrivées irrégulières à la frontière orientale fermée de 1 344 kilomètres, lorsque la sécurité nationale est en jeu. Les autorités estiment que la Russie a « instrumentalisé la migration », ce qui a conduit la Finlande à fermer tous les passages routiers fin 2023 et à accélérer la construction d’une clôture de sécurité de 200 kilomètres, dont l’achèvement est prévu en 2026.
Pour les professionnels de la mobilité internationale, cette affaire rappelle que la Finlande adopte désormais une position ferme sur les demandes d’asile déposées à la frontière orientale et procède à l’expulsion des candidats ne remplissant pas les critères d’éligibilité renforcés. Les entreprises qui relocalisent du personnel doivent conseiller à leurs employés de ne pas tenter de franchissements terrestres informels et de toujours disposer de documents de voyage complets lorsqu’ils entrent par les aéroports ou ports maritimes autorisés.
Cet incident illustre également l’élargissement des contrôles de sécurité : Migri vérifie désormais systématiquement les demandeurs dans les bases de données militaires et via le renseignement open source. Les employeurs envoyant des ressortissants russes—ou tout candidat ayant une expérience militaire—doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et préparer des preuves supplémentaires d’identité, de résidence légale et de non-implication dans des entités sanctionnées.
À l’avenir, les experts juridiques prévoient que le gouvernement sollicitera début 2026 l’approbation parlementaire pour prolonger la loi sur les refoulements au-delà de sa clause de fin actuelle. Si elle est adoptée, cette mesure officialiserait les expulsions rapides comme un outil permanent, influençant davantage la politique finlandaise en matière de migration et de déplacements transfrontaliers.
Cette expulsion intervient alors qu’Helsinki applique une loi d’urgence vieille d’un an, permettant aux autorités de refouler sommairement les arrivées irrégulières à la frontière orientale fermée de 1 344 kilomètres, lorsque la sécurité nationale est en jeu. Les autorités estiment que la Russie a « instrumentalisé la migration », ce qui a conduit la Finlande à fermer tous les passages routiers fin 2023 et à accélérer la construction d’une clôture de sécurité de 200 kilomètres, dont l’achèvement est prévu en 2026.
Pour les professionnels de la mobilité internationale, cette affaire rappelle que la Finlande adopte désormais une position ferme sur les demandes d’asile déposées à la frontière orientale et procède à l’expulsion des candidats ne remplissant pas les critères d’éligibilité renforcés. Les entreprises qui relocalisent du personnel doivent conseiller à leurs employés de ne pas tenter de franchissements terrestres informels et de toujours disposer de documents de voyage complets lorsqu’ils entrent par les aéroports ou ports maritimes autorisés.
Cet incident illustre également l’élargissement des contrôles de sécurité : Migri vérifie désormais systématiquement les demandeurs dans les bases de données militaires et via le renseignement open source. Les employeurs envoyant des ressortissants russes—ou tout candidat ayant une expérience militaire—doivent s’attendre à des délais de traitement plus longs et préparer des preuves supplémentaires d’identité, de résidence légale et de non-implication dans des entités sanctionnées.
À l’avenir, les experts juridiques prévoient que le gouvernement sollicitera début 2026 l’approbation parlementaire pour prolonger la loi sur les refoulements au-delà de sa clause de fin actuelle. Si elle est adoptée, cette mesure officialiserait les expulsions rapides comme un outil permanent, influençant davantage la politique finlandaise en matière de migration et de déplacements transfrontaliers.








