
Al Jazeera English rapporte que le Royaume-Uni va supprimer ce que les ministres qualifient de « ticket en or », c’est-à-dire la progression quasi automatique du statut de réfugié temporaire à celui de résident permanent. Les réfugiés devront désormais passer par un examen rigoureux tous les 30 mois et pourraient être contraints de retourner dans leur pays d’origine si la situation y est jugée sûre.
Le média souligne que les sondages montrent que l’immigration a dépassé l’économie comme principale préoccupation des électeurs, ce qui pousse le Parti travailliste à devancer le parti d’extrême droite Reform UK. L’article note également que les demandes d’asile ont atteint 109 343 sur l’année allant jusqu’en mars 2025, soit une hausse de 17 % par rapport à l’année précédente, alimentant les appels à une action décisive.
L’analyse met en lumière les répercussions internationales : les organisations humanitaires craignent que d’autres pays européens n’adoptent une position aussi dure que celle du Royaume-Uni, tandis que le HCR a exhorté Londres à maintenir des voies vers une protection durable. Du point de vue de la mobilité professionnelle, cette évolution renforce l’image d’un environnement restrictif, ce qui pourrait compliquer la communication des employeurs cherchant à attirer des talents en présentant le Royaume-Uni comme une destination ouverte et multiculturelle.
Les détails de la mise en œuvre seront précisés dans un projet de loi qui devrait être présenté le 18 novembre. Les parties prenantes ont jusqu’à la mi-janvier pour soumettre leurs observations au Comité des affaires intérieures.
Le média souligne que les sondages montrent que l’immigration a dépassé l’économie comme principale préoccupation des électeurs, ce qui pousse le Parti travailliste à devancer le parti d’extrême droite Reform UK. L’article note également que les demandes d’asile ont atteint 109 343 sur l’année allant jusqu’en mars 2025, soit une hausse de 17 % par rapport à l’année précédente, alimentant les appels à une action décisive.
L’analyse met en lumière les répercussions internationales : les organisations humanitaires craignent que d’autres pays européens n’adoptent une position aussi dure que celle du Royaume-Uni, tandis que le HCR a exhorté Londres à maintenir des voies vers une protection durable. Du point de vue de la mobilité professionnelle, cette évolution renforce l’image d’un environnement restrictif, ce qui pourrait compliquer la communication des employeurs cherchant à attirer des talents en présentant le Royaume-Uni comme une destination ouverte et multiculturelle.
Les détails de la mise en œuvre seront précisés dans un projet de loi qui devrait être présenté le 18 novembre. Les parties prenantes ont jusqu’à la mi-janvier pour soumettre leurs observations au Comité des affaires intérieures.







