
Le Financial Times a révélé de nouveaux détails sur la réforme de l’asile au Royaume-Uni, confirmant la suppression du droit automatique à un logement et à une allocation hebdomadaire pour les nouveaux arrivants. Dorénavant, l’aide ne sera accordée qu’après une évaluation individuelle de la capacité du demandeur à travailler ou à utiliser ses ressources personnelles.
La ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, défend cette mesure, estimant qu’elle dissuadera les « migrants économiques se faisant passer pour des réfugiés » et réduira la facture annuelle de 4 milliards de livres liée aux hôtels et logements pour demandeurs d’asile. Le gouvernement maintiendra un filet de sécurité en vertu de la loi sur l’enfance, mais les adultes refusant des offres d’emploi adaptées ou ne respectant pas les obligations de déclaration risquent de perdre leur hébergement et leurs allocations.
Les responsables de la mobilité en entreprise doivent noter que ce changement pourrait engendrer des tensions locales autour des sites d’entreprises qui dépendent actuellement d’une main-d’œuvre réfugiée importante. Les employeurs pourraient voir une hausse de la demande pour des logements sponsorisés par l’entreprise ou des avances sur frais, les migrants peinant à trouver des locations privées sans soutien étatique.
Des experts juridiques alertent sur le risque de recours en justice fondés sur l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) si le retrait de l’aide de base conduit à des traitements inhumains ou dégradants. Le ministère de l’Intérieur rétorque que l’aide restera disponible lorsque son refus contreviendrait aux obligations internationales.
Le déploiement est prévu pour le deuxième trimestre 2026, laissant le temps de rédiger de nouvelles directives et de développer des outils numériques de gestion des dossiers. Les entreprises employant des demandeurs d’asile — rares mais autorisées après un délai de 12 mois pour des postes figurant sur la liste des salaires d’immigration — devront suivre la législation secondaire et revoir les dispositifs d’aide sociale dans leurs chaînes d’approvisionnement.
La ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, défend cette mesure, estimant qu’elle dissuadera les « migrants économiques se faisant passer pour des réfugiés » et réduira la facture annuelle de 4 milliards de livres liée aux hôtels et logements pour demandeurs d’asile. Le gouvernement maintiendra un filet de sécurité en vertu de la loi sur l’enfance, mais les adultes refusant des offres d’emploi adaptées ou ne respectant pas les obligations de déclaration risquent de perdre leur hébergement et leurs allocations.
Les responsables de la mobilité en entreprise doivent noter que ce changement pourrait engendrer des tensions locales autour des sites d’entreprises qui dépendent actuellement d’une main-d’œuvre réfugiée importante. Les employeurs pourraient voir une hausse de la demande pour des logements sponsorisés par l’entreprise ou des avances sur frais, les migrants peinant à trouver des locations privées sans soutien étatique.
Des experts juridiques alertent sur le risque de recours en justice fondés sur l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) si le retrait de l’aide de base conduit à des traitements inhumains ou dégradants. Le ministère de l’Intérieur rétorque que l’aide restera disponible lorsque son refus contreviendrait aux obligations internationales.
Le déploiement est prévu pour le deuxième trimestre 2026, laissant le temps de rédiger de nouvelles directives et de développer des outils numériques de gestion des dossiers. Les entreprises employant des demandeurs d’asile — rares mais autorisées après un délai de 12 mois pour des postes figurant sur la liste des salaires d’immigration — devront suivre la législation secondaire et revoir les dispositifs d’aide sociale dans leurs chaînes d’approvisionnement.








