
Le 19e Salon aéronautique de Dubaï a ouvert ses portes aujourd’hui avec plus de 1 500 exposants et 200 avions présentés, mais les experts du secteur estiment que 2025 sera davantage une question de timing stratégique qu’une année de commandes record. Les compagnies du Golfe — notamment Emirates, Etihad et flydubai — négocient des engagements plus modestes et flexibles, garantissant des livraisons anticipées dans un contexte où Airbus et Boeing accumulent un retard de plus de 8 500 appareils.
Les analystes soulignent que les besoins de renouvellement des gros-porteurs ont été largement couverts par les contrats signés entre 2019 et 2023. Cette année, les goulets d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement et les taux d’intérêt élevés poussent les compagnies à combiner achats directs et locations ACMI, afin d’augmenter leur capacité sans investissements lourds. Flydubai envisage une commande de 200 avions monocouloirs, tandis qu’Etihad envisagerait d’ajouter des A330 plutôt que de conclure un méga-contrat spectaculaire.
Pour les planificateurs de mobilité d’entreprise, cette prudence a deux conséquences. D’une part, la production limitée pourrait retarder l’arrivée de cabines plus économes en carburant, prisées des voyageurs d’affaires. D’autre part, les contrats de location pourraient permettre aux compagnies de lancer plus rapidement des liaisons point à point de niche, élargissant ainsi les options de vols directs depuis Dubaï et Abou Dhabi.
Le salon met également en avant les technologies d’expérience passager. La GDRFA de Dubaï présente des portiques biométriques reliant les cartes d’embarquement à la reconnaissance faciale, promettant un passage plus rapide à l’immigration pour les voyageurs premium, dès leur déploiement à l’aéroport DXB l’année prochaine.
Les analystes soulignent que les besoins de renouvellement des gros-porteurs ont été largement couverts par les contrats signés entre 2019 et 2023. Cette année, les goulets d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement et les taux d’intérêt élevés poussent les compagnies à combiner achats directs et locations ACMI, afin d’augmenter leur capacité sans investissements lourds. Flydubai envisage une commande de 200 avions monocouloirs, tandis qu’Etihad envisagerait d’ajouter des A330 plutôt que de conclure un méga-contrat spectaculaire.
Pour les planificateurs de mobilité d’entreprise, cette prudence a deux conséquences. D’une part, la production limitée pourrait retarder l’arrivée de cabines plus économes en carburant, prisées des voyageurs d’affaires. D’autre part, les contrats de location pourraient permettre aux compagnies de lancer plus rapidement des liaisons point à point de niche, élargissant ainsi les options de vols directs depuis Dubaï et Abou Dhabi.
Le salon met également en avant les technologies d’expérience passager. La GDRFA de Dubaï présente des portiques biométriques reliant les cartes d’embarquement à la reconnaissance faciale, promettant un passage plus rapide à l’immigration pour les voyageurs premium, dès leur déploiement à l’aéroport DXB l’année prochaine.







