
Avec la réouverture du gouvernement fédéral, le Bureau de la Certification du Travail Étranger (OFLC) du Département du Travail a annoncé jeudi soir que sa plateforme Foreign Labor Application Gateway (FLAG) est de nouveau pleinement opérationnelle. Pendant la coupure de financement de 43 jours (du 1er octobre au 12 novembre), les employeurs n’ont pas pu déposer de demandes de certificats de travail (LCA), de demandes PERM ni de requêtes de salaire prédominant, gelant ainsi la plupart des parrainages d’immigration basés sur l’emploi.
Dans une directive adressée aux parties prenantes, l’OFLC a précisé qu’il va :
• Considérer comme déposées dans les délais toutes les demandes PERM ou de salaire prédominant dont le cachet postal est daté entre le 1er octobre et le 2 novembre, dès leur saisie dans FLAG.
• Prolonger automatiquement de 33 jours tous les délais de réponse — demandes d’informations supplémentaires (RFI), audits, notifications d’action (NOA), notifications de décision (NOD) et requêtes de réexamen — tombant pendant la période de fermeture.
• Autoriser les employeurs à utiliser des périodes de recrutement ou de validité des salaires expirées durant la fermeture, à condition que les dépôts soient effectués dans ce délai de grâce de 33 jours.
• Mettre en place des procédures d’urgence pour le dépôt des dossiers H-2A, H-2B et CW-1 lorsque « une cause sérieuse et valable » est démontrée.
Cette mesure permet aux employeurs de sauver des parrainages de cartes vertes et des demandes de travailleurs saisonniers sensibles au facteur temps, qui auraient autrement été annulés. Cependant, les tests du marché du travail pourraient devoir être renouvelés si d’autres périodes de validité sont expirées. Les praticiens recommandent de procéder immédiatement à un audit des dossiers, de recalculer les fenêtres de recrutement et de tenir informés les travailleurs étrangers dont la date de début pourrait être modifiée.
L’action de l’OFLC fait suite à des mesures similaires prises par l’USCIS et le Département d’État pour reprogrammer des centaines de milliers de rendez-vous annulés. Les responsables de la mobilité doivent s’attendre à des retards de traitement tout au long du premier trimestre 2026, alors que les agences s’efforcent de résorber les arriérés sous un budget provisoire expirant le 30 janvier.
Dans une directive adressée aux parties prenantes, l’OFLC a précisé qu’il va :
• Considérer comme déposées dans les délais toutes les demandes PERM ou de salaire prédominant dont le cachet postal est daté entre le 1er octobre et le 2 novembre, dès leur saisie dans FLAG.
• Prolonger automatiquement de 33 jours tous les délais de réponse — demandes d’informations supplémentaires (RFI), audits, notifications d’action (NOA), notifications de décision (NOD) et requêtes de réexamen — tombant pendant la période de fermeture.
• Autoriser les employeurs à utiliser des périodes de recrutement ou de validité des salaires expirées durant la fermeture, à condition que les dépôts soient effectués dans ce délai de grâce de 33 jours.
• Mettre en place des procédures d’urgence pour le dépôt des dossiers H-2A, H-2B et CW-1 lorsque « une cause sérieuse et valable » est démontrée.
Cette mesure permet aux employeurs de sauver des parrainages de cartes vertes et des demandes de travailleurs saisonniers sensibles au facteur temps, qui auraient autrement été annulés. Cependant, les tests du marché du travail pourraient devoir être renouvelés si d’autres périodes de validité sont expirées. Les praticiens recommandent de procéder immédiatement à un audit des dossiers, de recalculer les fenêtres de recrutement et de tenir informés les travailleurs étrangers dont la date de début pourrait être modifiée.
L’action de l’OFLC fait suite à des mesures similaires prises par l’USCIS et le Département d’État pour reprogrammer des centaines de milliers de rendez-vous annulés. Les responsables de la mobilité doivent s’attendre à des retards de traitement tout au long du premier trimestre 2026, alors que les agences s’efforcent de résorber les arriérés sous un budget provisoire expirant le 30 janvier.







