
La compagnie aérienne espagnole Iberia a confirmé le 14 novembre qu’elle doublera le nombre de ses liaisons vers le Brésil l’année prochaine, en inaugurant des vols Madrid–Recife trois fois par semaine à partir du 13 décembre 2025, ainsi que Madrid–Fortaleza le 19 janvier 2026.
Cette stratégie repose sur la nouvelle flotte d’Airbus A321XLR d’Iberia, dont l’autonomie accrue et la consommation de carburant par siège réduite de 30 % rendent viables toute l’année des liaisons entre villes secondaires à faible trafic. Recife et Fortaleza, centres en pleine expansion dans les secteurs des énergies renouvelables, de l’agritech et des services partagés, nécessitaient auparavant une escale à São Paulo ou Rio, allongeant le trajet de quatre à six heures. Iberia prévoit que ces deux nouvelles routes, ainsi qu’une montée en fréquence à un vol quotidien sur Madrid–Rio, augmenteront sa capacité vers le Brésil d’environ 72 000 sièges sur la période janvier-juin, soit une hausse de 25 % par rapport à 2025.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cette évolution offre de nouvelles options en un seul arrêt au sein du réseau Oneworld d’Iberia et de ses partenariats avec LATAM et Gol, permettant des correspondances le jour même vers 50 villes brésiliennes. Cette annonce s’inscrit également dans le cadre des nouvelles règles élargies du Visa de Visite (VIVIS) au Brésil, qui autorisent désormais des missions techniques de 90 jours sans permis de travail, un atout pour les ingénieurs européens intervenant sur les projets d’éoliennes dans le nord-est du pays.
Les acheteurs de voyages doivent noter qu’Iberia devrait rejoindre la plateforme NDC Exchange au premier trimestre 2026, ce qui permettra de proposer des offres dynamiques combinant tarifs corporate, segments LATAM en correspondance et facilitation de visas pré-approuvés. Les tarifs en classe affaires, mis en ligne le 14 novembre, étaient 12 % inférieurs à ceux de TAP sur les liaisons vers le nord-est du Brésil, témoignant d’une ambition marquée pour gagner des parts de marché.
Cette stratégie repose sur la nouvelle flotte d’Airbus A321XLR d’Iberia, dont l’autonomie accrue et la consommation de carburant par siège réduite de 30 % rendent viables toute l’année des liaisons entre villes secondaires à faible trafic. Recife et Fortaleza, centres en pleine expansion dans les secteurs des énergies renouvelables, de l’agritech et des services partagés, nécessitaient auparavant une escale à São Paulo ou Rio, allongeant le trajet de quatre à six heures. Iberia prévoit que ces deux nouvelles routes, ainsi qu’une montée en fréquence à un vol quotidien sur Madrid–Rio, augmenteront sa capacité vers le Brésil d’environ 72 000 sièges sur la période janvier-juin, soit une hausse de 25 % par rapport à 2025.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cette évolution offre de nouvelles options en un seul arrêt au sein du réseau Oneworld d’Iberia et de ses partenariats avec LATAM et Gol, permettant des correspondances le jour même vers 50 villes brésiliennes. Cette annonce s’inscrit également dans le cadre des nouvelles règles élargies du Visa de Visite (VIVIS) au Brésil, qui autorisent désormais des missions techniques de 90 jours sans permis de travail, un atout pour les ingénieurs européens intervenant sur les projets d’éoliennes dans le nord-est du pays.
Les acheteurs de voyages doivent noter qu’Iberia devrait rejoindre la plateforme NDC Exchange au premier trimestre 2026, ce qui permettra de proposer des offres dynamiques combinant tarifs corporate, segments LATAM en correspondance et facilitation de visas pré-approuvés. Les tarifs en classe affaires, mis en ligne le 14 novembre, étaient 12 % inférieurs à ceux de TAP sur les liaisons vers le nord-est du Brésil, témoignant d’une ambition marquée pour gagner des parts de marché.





