
L’Italie s’est réveillée le 14 novembre 2025 sous le coup de perturbations majeures, avec plusieurs syndicats coordonnant des grèves touchant tous les niveaux de l’infrastructure de mobilité du pays. L’Association des Contrôleurs Aériens (ASTRA) a provoqué l’impact le plus visible avec une grève nationale de quatre heures des contrôleurs aériens d’ENAV, de 13h00 à 17h00 CET, contraignant les compagnies aériennes à réduire leurs horaires dans les 45 aéroports italiens, y compris les hubs de Rome-Fiumicino et Milan-Malpensa. Les équipages italiens d’easyJet et la compagnie espagnole Volotea ont mené des actions simultanées, tandis que l’opérateur de transport urbain romain ATAC a subi une grève de 24 heures affectant bus, tramways et métro.
Ces mouvements s’inscrivent dans une vague plus large de protestations syndicales qui s’intensifie depuis novembre, portant sur la stagnation des salaires et les clauses relatives aux conditions de travail dans le budget italien 2026. Les syndicats ont choisi le milieu d’après-midi pour la grève des contrôleurs aériens afin de maximiser les perturbations en dehors des « plages garanties » légalement protégées, bien que l’Autorité de l’aviation civile italienne (ENAC) ait confirmé la protection des vols aux heures de pointe du matin (07h00-10h00) et en fin de soirée (18h00-21h00). Les compagnies aériennes ont annulé ou reprogrammé préventivement des centaines de vols pour préserver les rotations long-courriers et limiter les déplacements nocturnes des équipages.
Les voyageurs à Rome ont subi un double coup dur : réduction des opérations aériennes à Fiumicino et Ciampino, ainsi qu’une limitation des transports urbains. La grève d’ATAC a épargné uniquement les plages horaires obligatoires (06h00-09h00 et 18h00-21h00), provoquant de longues files d’attente aux stations de taxis et aux comptoirs de location de voitures. Les voyageurs d’affaires reliant les aéroports à la gare Roma Termini ont été invités à prévoir deux heures supplémentaires pour leurs transferts.
Les responsables de la mobilité en entreprise ont activé des plans de contingence incluant directives de télétravail, réacheminements via des hubs voisins comme Zurich et Nice, et recours au train à grande vitesse Frecciarossa pour les cadres lorsque cela est possible. Les employeurs soumis aux obligations liées aux travailleurs détachés ont été rappelés que la législation italienne impose le paiement des salaires des jours de grève uniquement si le salarié s’est présenté sur son lieu de travail et n’a pas pu travailler en raison de la perturbation — un détail important pour la conformité des équipes RH multinationales.
En perspective, le syndicat radical USB a appelé à une nouvelle grève nationale le 28 novembre, tandis que la confédération majoritaire CGIL prévoit une autre mobilisation le 12 décembre. Les acteurs de la mobilité doivent donc s’attendre à un calendrier continu de perturbations jusqu’à la période de pointe de Noël, soulignant l’importance de politiques de voyage flexibles et d’un suivi en temps réel des itinéraires.
Ces mouvements s’inscrivent dans une vague plus large de protestations syndicales qui s’intensifie depuis novembre, portant sur la stagnation des salaires et les clauses relatives aux conditions de travail dans le budget italien 2026. Les syndicats ont choisi le milieu d’après-midi pour la grève des contrôleurs aériens afin de maximiser les perturbations en dehors des « plages garanties » légalement protégées, bien que l’Autorité de l’aviation civile italienne (ENAC) ait confirmé la protection des vols aux heures de pointe du matin (07h00-10h00) et en fin de soirée (18h00-21h00). Les compagnies aériennes ont annulé ou reprogrammé préventivement des centaines de vols pour préserver les rotations long-courriers et limiter les déplacements nocturnes des équipages.
Les voyageurs à Rome ont subi un double coup dur : réduction des opérations aériennes à Fiumicino et Ciampino, ainsi qu’une limitation des transports urbains. La grève d’ATAC a épargné uniquement les plages horaires obligatoires (06h00-09h00 et 18h00-21h00), provoquant de longues files d’attente aux stations de taxis et aux comptoirs de location de voitures. Les voyageurs d’affaires reliant les aéroports à la gare Roma Termini ont été invités à prévoir deux heures supplémentaires pour leurs transferts.
Les responsables de la mobilité en entreprise ont activé des plans de contingence incluant directives de télétravail, réacheminements via des hubs voisins comme Zurich et Nice, et recours au train à grande vitesse Frecciarossa pour les cadres lorsque cela est possible. Les employeurs soumis aux obligations liées aux travailleurs détachés ont été rappelés que la législation italienne impose le paiement des salaires des jours de grève uniquement si le salarié s’est présenté sur son lieu de travail et n’a pas pu travailler en raison de la perturbation — un détail important pour la conformité des équipes RH multinationales.
En perspective, le syndicat radical USB a appelé à une nouvelle grève nationale le 28 novembre, tandis que la confédération majoritaire CGIL prévoit une autre mobilisation le 12 décembre. Les acteurs de la mobilité doivent donc s’attendre à un calendrier continu de perturbations jusqu’à la période de pointe de Noël, soulignant l’importance de politiques de voyage flexibles et d’un suivi en temps réel des itinéraires.








