
Le 14 novembre, la police frontalière de l’Assam a repoussé 10 réfugiés rohingyas et six ressortissants bangladais qui avaient franchi illégalement les frontières poreuses de l’État, a déclaré le ministre en chef Himanta Biswa Sarma. Cette opération menée tôt le matin a impliqué une coordination entre la police de l’État, la Force de sécurité frontalière et les agents d’immigration au poste de contrôle de Sutarkandi. Les 16 personnes ont été remises aux autorités bangladaises conformément aux protocoles de rapatriement en vigueur.
Cette mesure s’inscrit dans une campagne plus large lancée en septembre pour freiner l’immigration clandestine, perçue par New Delhi comme un risque sécuritaire et un point sensible démographique. Selon les chiffres officiels, l’Assam a expulsé 143 Rohingyas et 112 Bangladais depuis le début de l’année fiscale, contre seulement 61 sur l’ensemble de 2024. Les autorités expliquent que les réseaux de trafic exploitent les zones fluviales où les clôtures sont incomplètes.
Pour les employeurs multinationales implantés en Assam, ces contrôles renforcés signifient que les audits des documents du personnel seront plus fréquents. Les sous-traitants doivent s’assurer que les travailleurs occasionnels recrutés via des agences possèdent une carte Aadhaar et des autorisations de travail valides ; les sanctions prévues par la loi sur l’immigration et les étrangers de 2025 incluent désormais des amendes pouvant atteindre 10 lakh ₹ et des peines de prison allant jusqu’à sept ans en cas de violations volontaires.
Sur le plan humanitaire, des associations ont appelé le gouvernement à créer des centres de dépistage pour distinguer les véritables demandeurs d’asile des migrants économiques. Le ministère de l’Intérieur rappelle que l’Inde n’est pas signataire de la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés et évalue donc ces cas au cas par cas.
Les employeurs sont invités à mettre à jour les consignes de sécurité pour les déplacements de leur personnel dans les districts frontaliers, car les contrôles policiers et les vérifications d’identité devraient s’intensifier avant les élections d’État prévues en avril 2026.
Cette mesure s’inscrit dans une campagne plus large lancée en septembre pour freiner l’immigration clandestine, perçue par New Delhi comme un risque sécuritaire et un point sensible démographique. Selon les chiffres officiels, l’Assam a expulsé 143 Rohingyas et 112 Bangladais depuis le début de l’année fiscale, contre seulement 61 sur l’ensemble de 2024. Les autorités expliquent que les réseaux de trafic exploitent les zones fluviales où les clôtures sont incomplètes.
Pour les employeurs multinationales implantés en Assam, ces contrôles renforcés signifient que les audits des documents du personnel seront plus fréquents. Les sous-traitants doivent s’assurer que les travailleurs occasionnels recrutés via des agences possèdent une carte Aadhaar et des autorisations de travail valides ; les sanctions prévues par la loi sur l’immigration et les étrangers de 2025 incluent désormais des amendes pouvant atteindre 10 lakh ₹ et des peines de prison allant jusqu’à sept ans en cas de violations volontaires.
Sur le plan humanitaire, des associations ont appelé le gouvernement à créer des centres de dépistage pour distinguer les véritables demandeurs d’asile des migrants économiques. Le ministère de l’Intérieur rappelle que l’Inde n’est pas signataire de la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés et évalue donc ces cas au cas par cas.
Les employeurs sont invités à mettre à jour les consignes de sécurité pour les déplacements de leur personnel dans les districts frontaliers, car les contrôles policiers et les vérifications d’identité devraient s’intensifier avant les élections d’État prévues en avril 2026.











