
Air Canada a activé une politique exceptionnelle de « bonne volonté » pour les passagers dont l’itinéraire inclut l’aéroport de Bruxelles pendant la prochaine grève nationale en Belgique. Les voyageurs détenteurs de billets émis au plus tard le 11 novembre pour des trajets prévus les 25 ou 26 novembre peuvent modifier une fois gratuitement leur vol, à condition de choisir une date entre le 24 novembre et le 3 décembre, dans la même classe de cabine. Cette dérogation s’applique aux vols opérés par Air Canada, United Airlines ou les compagnies du groupe Lufthansa, et doit être effectuée au moins deux heures avant le départ prévu.
Cette mesure prend en compte que la grève ne perturbera pas seulement de nombreux vols, mais paralysra également les liaisons ferroviaires et de métro vers Zaventem. L’accès routier risque aussi d’être saturé : lors de la grève du 14 octobre, des embouteillages de plusieurs kilomètres se sont formés sur l’autoroute E40, obligeant certains passagers à abandonner leur taxi pour rejoindre à pied le terminal. En autorisant un changement anticipé, Air Canada espère ainsi réduire la congestion de dernière minute à l’aéroport et limiter ses responsabilités envers les clients bloqués.
Les programmes de voyages d’affaires sont les premiers bénéficiaires de cette mesure. Les responsables de la mobilité internationale peuvent anticiper en reprogrammant les déplacements des cadres clés et des visiteurs sur d’autres dates ou itinéraires via Amsterdam, Francfort ou Londres Heathrow, évitant ainsi des perturbations coûteuses le jour du voyage. Lorsque le report n’est pas possible, la compagnie recommande aux voyageurs de prévoir un temps supplémentaire pour rejoindre l’aéroport et de suivre les alertes de statut de vol via l’application mobile Air Canada.
Cette initiative fixe également une référence concurrentielle. Peu de compagnies non européennes proposent une reprogrammation sans frais en dehors des cas de force majeure. Si la grève belge s’intensifie ou se prolonge au-delà du 26 novembre, les observateurs s’attendent à ce que d’autres compagnies internationales adoptent une politique similaire pour préserver leur part de marché sur les liaisons transatlantiques.
Pour les passagers contraints de maintenir leurs dates de voyage, Air Canada remboursera les services annexes tels que la sélection de siège prépayée en cas d’annulation due à la grève. Toutefois, la politique de bonne volonté ne couvre pas les frais d’hôtel ou de transport terrestre, soulignant l’importance d’une assurance voyage complète ou d’une couverture en gestion des risques d’entreprise.
Cette mesure prend en compte que la grève ne perturbera pas seulement de nombreux vols, mais paralysra également les liaisons ferroviaires et de métro vers Zaventem. L’accès routier risque aussi d’être saturé : lors de la grève du 14 octobre, des embouteillages de plusieurs kilomètres se sont formés sur l’autoroute E40, obligeant certains passagers à abandonner leur taxi pour rejoindre à pied le terminal. En autorisant un changement anticipé, Air Canada espère ainsi réduire la congestion de dernière minute à l’aéroport et limiter ses responsabilités envers les clients bloqués.
Les programmes de voyages d’affaires sont les premiers bénéficiaires de cette mesure. Les responsables de la mobilité internationale peuvent anticiper en reprogrammant les déplacements des cadres clés et des visiteurs sur d’autres dates ou itinéraires via Amsterdam, Francfort ou Londres Heathrow, évitant ainsi des perturbations coûteuses le jour du voyage. Lorsque le report n’est pas possible, la compagnie recommande aux voyageurs de prévoir un temps supplémentaire pour rejoindre l’aéroport et de suivre les alertes de statut de vol via l’application mobile Air Canada.
Cette initiative fixe également une référence concurrentielle. Peu de compagnies non européennes proposent une reprogrammation sans frais en dehors des cas de force majeure. Si la grève belge s’intensifie ou se prolonge au-delà du 26 novembre, les observateurs s’attendent à ce que d’autres compagnies internationales adoptent une politique similaire pour préserver leur part de marché sur les liaisons transatlantiques.
Pour les passagers contraints de maintenir leurs dates de voyage, Air Canada remboursera les services annexes tels que la sélection de siège prépayée en cas d’annulation due à la grève. Toutefois, la politique de bonne volonté ne couvre pas les frais d’hôtel ou de transport terrestre, soulignant l’importance d’une assurance voyage complète ou d’une couverture en gestion des risques d’entreprise.






