
Des représentants des 27 États membres de l’UE, dont l’équipe du ministère de l’Intérieur finlandais, se sont réunis le 13 novembre au sein du Groupe de travail sur les aspects externes de l’asile et de la migration pour faire avancer un document de la présidence sur les « solutions nouvelles et innovantes pour prévenir et lutter contre la migration irrégulière ». Les conclusions provisoires consultées par les participants proposent d’étendre les dispositifs de « lieu sûr » avec les États côtiers d’Afrique du Nord afin d’accélérer le débarquement des migrants secourus en mer et de lancer des opérations conjointes de retour.
La Finlande, confrontée à ses propres défis liés à la « migration instrumentalisée » à sa frontière orientale, a exprimé un fort soutien à un mécanisme au niveau de l’UE permettant aux États membres d’activer plus rapidement des mesures d’urgence aux frontières, s’inspirant en partie de la loi finlandaise sur la sécurité des frontières de 2024. Les délégués ont également discuté du financement européen pour des systèmes électroniques d’entrée/sortie dans les pays partenaires, une initiative que la Finlande considère comme un complément au déploiement du système EES dans l’espace Schengen prévu pour octobre prochain.
Des observateurs de la société civile ont critiqué ces propositions, les jugeant susceptibles d’entraîner des refoulements, mais les responsables finlandais ont souligné que les voies légales — comme l’augmentation des quotas du programme Talent Boost en Finlande — doivent être accompagnées d’une dissuasion crédible pour préserver la confiance du public. Un texte final est attendu lors du Conseil Justice et Affaires intérieures (JAI) en décembre ; selon des sources, la Finlande cherchera à obtenir une formulation explicite garantissant que tout « lieu sûr » externe respecte les normes du HCR.
Les résultats de cette réunion sont importants pour les programmes de mobilité, car ils annoncent d’éventuels changements à l’échelle de l’UE concernant la fermeture des frontières ou le traitement des demandes d’asile, susceptibles d’impacter les itinéraires de voyage et les relocalisations des familles des expatriés, notamment le long des corridors sud fréquemment empruntés par les compagnies aériennes reliant Helsinki à la Méditerranée.
Les parties prenantes sont invitées à suivre de près le Conseil JAI de décembre pour connaître les calendriers précis ; les lobbyistes des employeurs nordiques prévoient de plaider en faveur d’une extension parallèle des voies de migration légale afin de contrebalancer la fermeté accrue sur les entrées irrégulières.
La Finlande, confrontée à ses propres défis liés à la « migration instrumentalisée » à sa frontière orientale, a exprimé un fort soutien à un mécanisme au niveau de l’UE permettant aux États membres d’activer plus rapidement des mesures d’urgence aux frontières, s’inspirant en partie de la loi finlandaise sur la sécurité des frontières de 2024. Les délégués ont également discuté du financement européen pour des systèmes électroniques d’entrée/sortie dans les pays partenaires, une initiative que la Finlande considère comme un complément au déploiement du système EES dans l’espace Schengen prévu pour octobre prochain.
Des observateurs de la société civile ont critiqué ces propositions, les jugeant susceptibles d’entraîner des refoulements, mais les responsables finlandais ont souligné que les voies légales — comme l’augmentation des quotas du programme Talent Boost en Finlande — doivent être accompagnées d’une dissuasion crédible pour préserver la confiance du public. Un texte final est attendu lors du Conseil Justice et Affaires intérieures (JAI) en décembre ; selon des sources, la Finlande cherchera à obtenir une formulation explicite garantissant que tout « lieu sûr » externe respecte les normes du HCR.
Les résultats de cette réunion sont importants pour les programmes de mobilité, car ils annoncent d’éventuels changements à l’échelle de l’UE concernant la fermeture des frontières ou le traitement des demandes d’asile, susceptibles d’impacter les itinéraires de voyage et les relocalisations des familles des expatriés, notamment le long des corridors sud fréquemment empruntés par les compagnies aériennes reliant Helsinki à la Méditerranée.
Les parties prenantes sont invitées à suivre de près le Conseil JAI de décembre pour connaître les calendriers précis ; les lobbyistes des employeurs nordiques prévoient de plaider en faveur d’une extension parallèle des voies de migration légale afin de contrebalancer la fermeté accrue sur les entrées irrégulières.










