
Le gouvernement de la Région administrative spéciale de Hong Kong a annoncé le 12 novembre 2025 l’élargissement de son Programme de facilitation de l’immigration pour les visiteurs participant à des activités de courte durée dans des secteurs désignés (communément appelé le Programme STV). Dès à présent, la liste des secteurs éligibles passe de 12 à 17, avec l’ajout de l’environnement, de la sécurité et santé au travail, du maritime, des think tanks et d’une catégorie « Autres » englobante. Le nombre d’organisations hôtes autorisées à délivrer des lettres d’invitation augmente également, passant d’environ 400 à près de 490.
Le Programme STV permet aux visiteurs approuvés d’exercer des activités rémunérées jusqu’à 14 jours consécutifs par séjour, sans avoir besoin de visa de travail. Les cas typiques incluent des conférenciers principaux lors de colloques sur le développement durable, des arbitres en droit maritime ou des chercheurs de think tanks en visite collaborant avec des homologues hongkongais.
Pour les employeurs chinois continentaux envoyant du personnel à Hong Kong, cette mesure simplifie les démarches : une lettre d’invitation émise par une organisation hôte autorisée suffit pour le passage à l’immigration, évitant ainsi un délai de traitement de quatre à six semaines pour l’obtention d’un visa de travail. À l’inverse, les entreprises hongkongaises peuvent faire venir plus rapidement des experts étrangers pour respecter les échéances de leurs projets, un avantage compétitif souligné par la Chambre de commerce générale de Hong Kong.
Cette extension s’inscrit dans la stratégie plus large d’attraction des talents de Hong Kong, qui comprend désormais un Passeport Top Talent, un assouplissement des règles pour les visas des personnes à charge et des voies accélérées vers la résidence permanente. Selon les données gouvernementales, les différents programmes d’attraction ont enregistré 280 000 approbations depuis fin 2022, dont environ deux tiers sont déjà présents dans la ville.
Les entreprises doivent toutefois rester vigilantes quant à la nature des activités : si les visiteurs de courte durée dépassent 14 jours ou occupent des fonctions régulières, un visa de travail demeure obligatoire. Les services de paie doivent également vérifier les obligations fiscales, car la rémunération perçue pour un travail effectué à Hong Kong peut être soumise à l’impôt sur le revenu, même pour de courts séjours.
Le Programme STV permet aux visiteurs approuvés d’exercer des activités rémunérées jusqu’à 14 jours consécutifs par séjour, sans avoir besoin de visa de travail. Les cas typiques incluent des conférenciers principaux lors de colloques sur le développement durable, des arbitres en droit maritime ou des chercheurs de think tanks en visite collaborant avec des homologues hongkongais.
Pour les employeurs chinois continentaux envoyant du personnel à Hong Kong, cette mesure simplifie les démarches : une lettre d’invitation émise par une organisation hôte autorisée suffit pour le passage à l’immigration, évitant ainsi un délai de traitement de quatre à six semaines pour l’obtention d’un visa de travail. À l’inverse, les entreprises hongkongaises peuvent faire venir plus rapidement des experts étrangers pour respecter les échéances de leurs projets, un avantage compétitif souligné par la Chambre de commerce générale de Hong Kong.
Cette extension s’inscrit dans la stratégie plus large d’attraction des talents de Hong Kong, qui comprend désormais un Passeport Top Talent, un assouplissement des règles pour les visas des personnes à charge et des voies accélérées vers la résidence permanente. Selon les données gouvernementales, les différents programmes d’attraction ont enregistré 280 000 approbations depuis fin 2022, dont environ deux tiers sont déjà présents dans la ville.
Les entreprises doivent toutefois rester vigilantes quant à la nature des activités : si les visiteurs de courte durée dépassent 14 jours ou occupent des fonctions régulières, un visa de travail demeure obligatoire. Les services de paie doivent également vérifier les obligations fiscales, car la rémunération perçue pour un travail effectué à Hong Kong peut être soumise à l’impôt sur le revenu, même pour de courts séjours.








