
Le dernier rapport sur les arrivées et départs internationaux publié par le Bureau australien des statistiques révèle que 696 500 visiteurs étrangers de courte durée sont entrés en Australie en septembre 2025, dépassant légèrement le chiffre de septembre 2019 et marquant ainsi le premier mois complet où le tourisme entrant a retrouvé son niveau d’avant la pandémie. En revanche, les voyages à l’étranger restent bien plus nombreux, avec 1,24 million de déplacements, témoignant de l’appétit toujours vif des Australiens pour les vacances à l’étranger.
La Nouvelle-Zélande, la Chine, le Royaume-Uni, les États-Unis et Singapour dominent le classement des pays d’origine des visiteurs, tandis que Bali conserve sa place de destination favorite des Australiens, attirant 13 % de tous les voyages sortants. Les acteurs du secteur estiment que ce cap franchi valide trois années d’efforts intensifs pour reconstruire les liaisons aériennes, avec des exonérations de frais aéroportuaires et la campagne mondiale de Tourism Australia « Come and Say G’day ».
Selon Simon Westaway, directeur général de l’Association des aéroports australiens, les passagers internationaux ont dépensé 13 milliards de dollars australiens sur l’année jusqu’en juin 2025, soit une hausse de 27 % par rapport à l’année précédente, plaçant le secteur sur la voie pour dépasser les 16 milliards générés en 2019. Ces revenus sont réinvestis dans la rénovation des terminaux et la mise en place de technologies biométriques pour réduire les temps de correspondance des voyageurs d’affaires.
Le géant du voyage d’affaires Flight Centre partage cet optimisme dans une mise à jour du marché le jour même, évoquant une « croissance robuste à deux chiffres » dans son segment corporate et prévoyant un bénéfice avant impôts pour l’exercice 2026 compris entre 305 et 340 millions de dollars australiens. L’entreprise souligne en particulier le renforcement du trafic transpacifique et européen comme moteurs clés.
Pour les responsables de la mobilité, la leçon est claire : la capacité de transport est de retour, mais la concurrence pour les places aussi. Les tarifs en haute saison vers les États-Unis et l’Europe restent environ 15 % supérieurs à ceux de 2019, ce qui laisse penser que les budgets voyages resteront élevés jusqu’en 2026. Les organisations sont donc invitées à sécuriser leurs accords d’achat anticipé dès que possible, notamment pour les déplacements liés aux projets au deuxième et troisième trimestre.
La Nouvelle-Zélande, la Chine, le Royaume-Uni, les États-Unis et Singapour dominent le classement des pays d’origine des visiteurs, tandis que Bali conserve sa place de destination favorite des Australiens, attirant 13 % de tous les voyages sortants. Les acteurs du secteur estiment que ce cap franchi valide trois années d’efforts intensifs pour reconstruire les liaisons aériennes, avec des exonérations de frais aéroportuaires et la campagne mondiale de Tourism Australia « Come and Say G’day ».
Selon Simon Westaway, directeur général de l’Association des aéroports australiens, les passagers internationaux ont dépensé 13 milliards de dollars australiens sur l’année jusqu’en juin 2025, soit une hausse de 27 % par rapport à l’année précédente, plaçant le secteur sur la voie pour dépasser les 16 milliards générés en 2019. Ces revenus sont réinvestis dans la rénovation des terminaux et la mise en place de technologies biométriques pour réduire les temps de correspondance des voyageurs d’affaires.
Le géant du voyage d’affaires Flight Centre partage cet optimisme dans une mise à jour du marché le jour même, évoquant une « croissance robuste à deux chiffres » dans son segment corporate et prévoyant un bénéfice avant impôts pour l’exercice 2026 compris entre 305 et 340 millions de dollars australiens. L’entreprise souligne en particulier le renforcement du trafic transpacifique et européen comme moteurs clés.
Pour les responsables de la mobilité, la leçon est claire : la capacité de transport est de retour, mais la concurrence pour les places aussi. Les tarifs en haute saison vers les États-Unis et l’Europe restent environ 15 % supérieurs à ceux de 2019, ce qui laisse penser que les budgets voyages resteront élevés jusqu’en 2026. Les organisations sont donc invitées à sécuriser leurs accords d’achat anticipé dès que possible, notamment pour les déplacements liés aux projets au deuxième et troisième trimestre.









