
Les voyageurs d’affaires en transit à Rome le 12 novembre ont été confrontés à un embouteillage inattendu, suite à une grève de quatre heures des personnels au sol et de sécurité, de 10h00 à 14h00, dans les deux principaux aéroports de la capitale — Leonardo da Vinci–Fiumicino (FCO) et Ciampino (CIA). Cette action syndicale, organisée par plusieurs syndicats des transports, portait sur des négociations contractuelles bloquées concernant les primes de week-end, les heures supplémentaires et les effectifs.
Les compagnies aériennes ont réagi en annulant ou en reprogrammant de nombreuses rotations court-courriers, tandis que les transporteurs long-courriers ont préféré retarder leurs départs après 14h00 pour éviter des infractions aux règles de repos des équipages sur le réseau. ITA Airways a signalé des perturbations « maîtrisables », grâce à des plans opérationnels révisés qui ont redirigé les vols transatlantiques via Milan-Malpensa pour le ravitaillement et le changement d’équipage. RyanAir et Wizz Air, très dépendants de Ciampino, ont émis des bons de rebooking et conseillé aux passagers de ne pas arriver à l’aéroport plus de deux heures avant les nouveaux horaires de départ.
Du point de vue de la gestion de la mobilité, la courte durée de la grève masque une tendance plus large : l’Italie a enregistré 27 arrêts de travail distincts dans le secteur aéroportuaire depuis janvier, souvent brefs mais très concentrés. Les responsables voyages avec des équipages en rotation ou des plannings serrés en Italie devraient prévoir des marges de sécurité d’une demi-journée dans leurs itinéraires et valider à l’avance des tarifs flexibles modifiables sans pénalité.
Les experts juridiques rappellent que la législation italienne impose un préavis de seulement 48 heures pour les grèves de moins de 24 heures, ce qui complique la planification proactive des mesures de secours. Les entreprises employant des travailleurs détachés doivent donc s’assurer que leurs protocoles de devoir de vigilance incluent des systèmes d’alerte par SMS et des alternatives de transport local — notamment pour Ciampino, où les liaisons ferroviaires sont limitées.
Si la grève de mercredi s’est déroulée sans incident, les syndicats ont averti que d’autres mouvements pourraient coïncider avec la période chargée de Noël si les négociations n’avancent pas. Les employeurs sont invités à suivre le calendrier publié par l’Autorité nationale des transports italienne, qui recense les dates de grève autorisées, et à coordonner avec les prestataires locaux pour anticiper les solutions de dernier kilomètre.
Les compagnies aériennes ont réagi en annulant ou en reprogrammant de nombreuses rotations court-courriers, tandis que les transporteurs long-courriers ont préféré retarder leurs départs après 14h00 pour éviter des infractions aux règles de repos des équipages sur le réseau. ITA Airways a signalé des perturbations « maîtrisables », grâce à des plans opérationnels révisés qui ont redirigé les vols transatlantiques via Milan-Malpensa pour le ravitaillement et le changement d’équipage. RyanAir et Wizz Air, très dépendants de Ciampino, ont émis des bons de rebooking et conseillé aux passagers de ne pas arriver à l’aéroport plus de deux heures avant les nouveaux horaires de départ.
Du point de vue de la gestion de la mobilité, la courte durée de la grève masque une tendance plus large : l’Italie a enregistré 27 arrêts de travail distincts dans le secteur aéroportuaire depuis janvier, souvent brefs mais très concentrés. Les responsables voyages avec des équipages en rotation ou des plannings serrés en Italie devraient prévoir des marges de sécurité d’une demi-journée dans leurs itinéraires et valider à l’avance des tarifs flexibles modifiables sans pénalité.
Les experts juridiques rappellent que la législation italienne impose un préavis de seulement 48 heures pour les grèves de moins de 24 heures, ce qui complique la planification proactive des mesures de secours. Les entreprises employant des travailleurs détachés doivent donc s’assurer que leurs protocoles de devoir de vigilance incluent des systèmes d’alerte par SMS et des alternatives de transport local — notamment pour Ciampino, où les liaisons ferroviaires sont limitées.
Si la grève de mercredi s’est déroulée sans incident, les syndicats ont averti que d’autres mouvements pourraient coïncider avec la période chargée de Noël si les négociations n’avancent pas. Les employeurs sont invités à suivre le calendrier publié par l’Autorité nationale des transports italienne, qui recense les dates de grève autorisées, et à coordonner avec les prestataires locaux pour anticiper les solutions de dernier kilomètre.









